USA: présidence de Barack Obama ? L’avenir de la planète ( et des Etats Unis ! ) en a besoin après les désastres causés par l’ère Bush

((/images/140px-ObamaSouthCarolina.jpg))%%% %%% ((/images/logo-CIweb.jpg)) Lu dans « Courrier International »:%%% __THE ECONOMIST__ %%% ((/images/v547royaume_unidrapeau.jpg))%%% __ »Barack Obama mérite d’être élu président »__ %%% « Les Etats-Unis devraient saisir leur chance et faire de Barack Obama le nouveau leader du monde libre. » L’hebdomadaire libéral britannique, qui effectue la moitié de ses ventes aux Etats-Unis, a décidé de soutenir la candidature de Barack Obama à la Maison-Blanche. « Nous le faisons de tout cœur : le démocrate a clairement montré qu’il offre la meilleure chance de rétablir la confiance des Etats-Unis en eux-mêmes. » Le magazine souligne toutefois qu’il s’agit d’un « pari », compte tenu de l’inexpérience du candidat et du « manque de clarté de certaines de ses convictions ».%%% __THE WASHINGTON POST__%%% ((/images/v460etats_unisdrapeau.jpg))%%% __Jusqu’à la dernière minute, l’administration Bush dérégule__%%% « Avant que Bush ne quitte le Bureau ovale, en janvier, la Maison-Blanche veut faire adopter un large éventail de règlements fédéraux, dont beaucoup affaibliraient les lois gouvernementales qui protègent le consommateur et l’environnement. » Selon le quotidien de Washington, cette vague de dérégulations compte « parmi les plus contestables de l’ère Bush, et son successeur pourrait avoir du mal à s’en dépêtrer ». Par exemple, la Maison-Blanche voudrait assouplir les contrôles sur les émissions de polluants. __THE WASHINGTON POST__%%% ((/images/v460etats_unisdrapeau.jpg))%%% __Régulation financière: Alan Greenspan confesse ses erreurs__%%% L’homme passait encore récemment pour « l’architecte infaillible de la prospérité américaine ». Le 23 octobre, Alan Greenspan, l’ancien directeur de la Réserve fédérale américaine (1987-2006), comparaissait devant un comité de la Chambre des représentants américaine chargé de déterminer les causes de l’effondrement boursier actuel. Il a confié que la crise avait ébranlé sa compréhension du fonctionnement des marchés et admis qu’une dose de régulation pouvait se révéler parfois nécessaire.