Téléthon – Copenhague 2009 ( suite ) avec le vacarme de samedi sur la place Masséna – Vernissage de l’exposition de REZA à la galerie ART FRANCE

Encore une journée bien remplie samedi. Après le Téléthon, en fin de matinée j’ai répondu à l’appel de la planète pour interpeller les responsables qui vont décider de l’avenir climatique et environnemental de la planète, donc de notre avenir global. Les associations, les partis écologistes, notamment, et des personnes de bonne volonté étaient présents sur la place Masséna à Nice, suite à cet appel, qui suivaient les appels et manifestations précédentes qui avaient déjà eu lieu dans notre département.%%% ((/images/14654_185937401587_632761587_3006893_4852499_n.jpg))%%% Puis l’après midi, direction le vieux Nice, à la galerie ART FRANCE, au 14, rue Saint Joseph, où le peintre Reza ( Robert Jadat de son vrai nom, ancien chirurgien d’origine iranienne ) expose ses tableaux depuis quelques jours; l’exposition a lieu du 28 novembre au 27 décembre 2009. La relation presse de la galerie étant réalisée par Nadège Bonfils, Attachée de pressed de la Galerie Art France.%%% Peinture forte et colorée, même quand il y a seulement 2 couleurs, comme ce magnifique tableau en noir et bleu, plus le blanc de lumière mystique, dans ce tableau représentant des derviches tourneurs. Un certain nombre de tableau représentant ce thème. Autres thèmes, les tremblements de terres ou un pont. Pont de Mostar ? Symbole de la réunion entres des populations catholiques et musulmanes détruit par les extrémistes serbes en Bosnie Herzègovine et reconstruit par la « Communauté internationale » qui n’avait pas voulu l’éviter, ni éviter le massacre des populations musulmanes. « Depuis sa retraite il se consacre entièrement à la peinture dans son atelier de Vaucresson. Ses œuvres sont le reflet de sa personnalité, elles retracent sa vie et ses penchants culturels: tremblement de terre en Iran, danses extatiques des Derviches Tourneurs …

A travers les danses mystiques de ses derviches et la tradition soufie de laquelle Reza s’est épris il y a de nombreuses années, les chorégraphies aux mouvements perpétuels suscitent un recueillement envoûtant. De l’énergie étourdissante et du tourbillonnement des couleurs aux dimensions vibrantes, le souffle du sacré s’exhale de ces silhouettes dansantes, à l’immédiateté qu’aucune réflexion discursive ne peut saisir. La part d’universalité confère à ses œuvres une capacité de résonnance en chacun. De ces derviches tourneurs, s’incarne l’énigme d’exister. De la vision intemporelle se murmure un langage secret. La philosophie de la danse des derviches tourneurs trouve son origine dans le soufisme de Rûmi. Bien que de confession musulmane, Rûmi ne se reconnaît pas dans le dogme de l’islam. Il se considère comme un chercheur en conscience humaine, privilégiant toujours l’expérience directe aux écrits imposés et figés de l’époque. Rûmi fait partie du soufisme, la branche mystique de l’Islam. Comme tout explorateur de la conscience humaine il rejeta le dogme religieux fixiste, car il perçut intuitivement que tout n’est qu’évolution et que le transpersonnel en l’humain évolue en même temps que le reste de la psyché. Le développement personnel étant par essence recherche de liberté intérieure et expansion de la conscience au-delà des limites imposées par un ordre politique ou religieux. L’approche psychocorporelle établie par Rûmi pour les derviches tourneurs se fonde sur diverses expérimentations et ressentis intérieurs. La Galerie Art France est membre de l’association internationale AWA, elle est aussi à l’initiative du Cercle des Amateurs d’Art Eclairés. Chaque mois la Galerie Art France organise autour d’un diner gastronomique une soirée culturelle réunissant un artiste émergent, un critique d’art, un commissaire priseur et de nombreux amateurs d’art qui désirent profiter des conseils en matière d’art et d’investissement.  » [http://www.art-france-galerie.com/|http://www.art-france-galerie.com/|fr]