NON à l’nstallation désordonnée d’antennes-relais de téléphonie mobile : résumé de la manifestation du 2 octobre à Nice, chemin de l’Arietta

((/images/ARIETA ANTENNE__ manif.jpg))%%% Une centaine de manifestants samedi matin devant le pavillon où doivent être installées trois antennes-relais mi-octobre. (Photo F. Lec.)%%% Une manifestation à la quelle j’ai assisté et un mouvement justifié que je soutiens. Je soutiens aussi l’idée de MUTUALISATION entre opérateurs, défendue dans une proposition de loi écologiste ( Verts, sauf pour le premier et le dernier sénateur : Jean DESESSARD ( PS ), Marie-Christine BLANDIN, Alima BOUMEDIENE-THIERY, Dominique VOYNET et Jacques MULLER ( PS ) … ) faite en avril 2009. L’arrivée de FREE comme 4ème opérateur rendra indispensable cette idée pleine de bon sens, et qui préservera un peu notre santé.%%% Et voici l’article à lire en entier dans __ NICE MATIN __ :%%% __Ils manifestent contre les antennes-relais de l’Arieta à La Lanterne__ Les riverains du chemin de l’Arieta rejettent le projet d’installation de trois antennes-relais sur le toit d’une maison. Ils l’ont redit haut et fort samedi%%% Tout en haut du quartier de La Lanterne, 33, camin de l’Arieta. Un pavillon anodin au milieu d’une longue rue qui serpente entre la Corniche-Fleurie et l’avenue de Fabron. Cette adresse cristallise la colère des riverains. Ils étaient une centaine à manifester samedi matin pour protester contre la décision d’un opérateur de téléphonie mobile d’y installer trois antennes-relais. Elles sont destinées à permettre le fonctionnement de la 3G, une technologie offrant un débit plus rapide. Le problème, c’est que les propriétaires de la maison sont d’accord. Arlette et Victor Rizzuto ont signé un contrat avec Orange. Contrat plutôt juteux, puisque le couple percevra un loyer mensuel de 1 000 € en échange d’un petit emplacement sur son toit. Et 1 000 € par mois, c’est plus que la pension de Victor, ex-maçon.

__Rendez-vous mi-octobre__%%% « Je suis cardiaque. Si je pars avant lui, il n’aura même pas les moyens de se payer un asile de retraite », assure Arlette Rizzuto, une ancienne directrice d’école qui prétend protéger son mari. Le débat sur les émissions d’ondes électromagnétiques n’entame pas sa détermination. Pas plus que la montée en pression de son voisinage immédiat : « Chacun est libre de penser et de faire ce qu’il veut. De toute façon, ces antennes, si elles ne venaient pas chez nous, elles iraient à côté. A moins de supprimer les portables… » « Tu cherches à massacrer tes voisins ! », lui a reproché samedi un opposant au projet. Le ton donne une idée de l’ambiance dans le quartier. Certains sont toutefois beaucoup plus modérés. C’est le cas de Jean-Paul Derai, membre du collectif des riverains. Ou de René-Gilles Berteaux, de l’Association de défense de l’environnement du plateau Lanterne-Fabron (Adeplan). Tous deux sont partisans d’un règlement judiciaire du dossier. Ils l’ont rappelé : « Le préfet et le maire de Nice ont autorisé l’installation de ces antennes en 2008. Tout près de deux écoles et d’une maison de retraite. Mais nous avons obtenu de la ville que des mesures soient effectuées par un cabinet indépendant, ce qui devrait être fait dans les dix jours à venir. » Rien ne permet d’affirmer que cette étude d’impact empêchera la pose des antennes, prévue mi-octobre. Mais Jean-Paul Derai veut se montrer confiant. Il rappelle qu’une résidence de vingt-cinq appartements est en cours de construction, juste à côté du pavillon des Rizzuto. Deux acquéreurs potentiels auraient conditionné leur engagement à l’annulation du projet d’Orange. …  » [http://www.nicematin.com/article/societe/ils-manifestent-contre-les-antennes-relais-de-larieta-a-la-lanterne|http://www.nicematin.com/article/societe/ils-manifestent-contre-les-antennes-relais-de-larieta-a-la-lanterne|fr]