Scandale de l’aspartame : pour l’éviction d’une substance potentiellement cancérogène et dont les études ayant servi à son autorisation sont introuvables !

L’aspartame pourrait être cancérogène et causer des naissances prématurées. Je suis pour son éviction des aliments. %%% Le RES ( Réseau Environnement Santé ), Générations Futures et trois députés ont appelé ce mercredi à la réévaluation de l’aspartame dans un premier temps. Mais il y a urgence, cela doit se faire rapidement et il ne faut pas attendre fin 2012 ! A lire en entier dans __LE QUOTIDIEN DU MEDECIN__ : __Aspartame : 3 parlementaires demandent une réévaluation immédiate__  » Gérard Bapt, député PS de Haute-Garonne, Anny Poursinoff, députée écologiste ( EELV ) des Yvelines, et Corinne Lepage, députée européenne, ont lancé ce 29 juin un appel à la prudence et demandé la réévaluation complète et immédiate de l’aspartame. Lors d’une conférence de presse organisée à l’Assemblée nationale par le Réseau environnement santé (RES) et Générations futures, à l’initiative des deux membres de l’Assemblée nationale, ils ont en particulier souligné que « la dose journalière admissible (DJA) de cet édulcorant repose sur des études non publiées, introuvables et de qualité douteuse ».

Les parlementaires relèvent en particulier que les deux études expérimentales de cancérogénicité de 1973 et 1974 qui ont servi à la Food and Drug Administration (FDA) pour définir l’actuelle DJA de 40 mg/kg/j n’ont jamais fait l’objet de publication. Et c’est sur la seule foi de l’analyse de la FDA que les autorités européenne et française ont validé la DJA. Or, souligne le RES, des témoignages de chercheurs travaillant à la FDA, comme celui de la toxicologue Jacqueline Verett, ou celui, en 1977, du Dr Jérôme Bressler, qui dirigea le groupe de travail chargé de valider l’authenticité des principales études fournies par les laboratoires Searle (la compagnie pharmaceutique détentrice du brevet de l’aspartame) mettent en doute la méthodologie de ces études. Sollicitées par le RES, les autorités européennes (EFSA) et françaises (ANSES) ont reconnu ne pas être en possession de ces études. Face à ces interrogations, la Commission européenne a récemment demandé à l’EFSA une réévaluation anticipée de l’aspartame. Celle-ci devrait se terminer d’ici à l’été 2012. … «