Archives mensuelles : mars 2014

Lettre ouverte d’Olivier Bettati aux propriétaires et locataires concernés par le tracé de la ligne 2 du tram / Conférence du Pr Professeur Eric Gilli au Splendid à 17h30 vendredi 14 mars à Nice

1897834_10201724443014922_1278208728_n« Madame, Monsieur,

Contrairement aux affirmations du maire sortant, le débat sur le futur tunnel de la ligne 2 du tramway est toujours d’actualité.
Il est un des enjeux majeurs de cette élection municipale car il engage l’avenir de Nice.

Nombreux sont ceux qui depuis plusieurs mois, alertent l’opinion publique niçoise sur le risque majeur qu’un tunnel souterrain ferait courir à vos habitations en raison de la nature particulière du sous-sol.
Je comprends ces inquiétudes et je les partage.

Soucieux de faire toute la lumière sur les risques encourus, j’ai sollicité l’expertise du

Professeur Eric Gilli

Professeur de géologie à l’Université Paris 8

Chercheur sur les séismes, tsunamiset mouvements de failles dans les grottes

Expert en géologie appliquée (étude de fondations et hydrologie)

Celui-ci vient de me remettre les résultats de son étude géologique. »

Olivier Bettati

« J’ai participé au recours judiciaire engagé contre ce tracé souterrain avec notamment Marc Concas ( à l’origine du recours ), Jean Christophe Picard, Christian Razeau .. etc

Au plaisir de vous rencontrer au Splendid à 17h30 vendredi 14 mars à Nice  »

Dr André Minetto

Appel de la section de Nice de la Ligue des droits de l’Homme et d’Amnesty International : rassemblement de soutien au Peuple Syrien par un hommage lumineux et silencieux samedi 15 mars à 18 h sur la Place du Palais de Justice à Nice

 

 » Afin de marquer avec force notre soutien au Peuple Syrien par un hommage lumineux et silencieux, nous vous donnons rendez-vous :

 SAMEDI 15 MARS à 18 h. sur la Place du Palais de Justice à NICE

 pour un rassemblement  que nous souhaitons largement partagé par tous : hommes, femmes, enfants, associations etc..

vous pouvez trouver tous les détails de cette Campagne Mondiale, à laquelle,entre autres, la FIDH et  Amnesty International se sont  associés, sur le site : 

                                                                  http://www.with-syria.org/fr

Ci-après  le lien pour retrouver la page facebook créée, crée par Amnesty Nice pour cet évènement :  https://www.facebook.com/events/262585193911284/

N’hésitez pas à relayer largement cette invitation largement et inviter vos amis, familles, associations,  etc..

Vous pouvez amener des bougies … et vos appareils photos pour bien marquer ce moment de soutien et de solidarité. « 

 

Ligue des droits de l’Homme
Section de Nice
contact-mails  : liguenice+contact@gmail.com
T : @liguenice  F :  www.facebook.com/ldhnice

Les Amis de la Terre Europe : Mobilisons-nous pour la Révolution énergétique le 20 Mars à 17h, à Bruxelles (Rond-Point Schuman)

Pièce jointe

20 Mars à 17hBruxelles (Rond-Point Schuman)  
Aidez nous à mobiliser pour la Révolution énergétique !
Tournons le dos aux pollueurs et plaçons l’humain au cœur d’un avenir énergétique propre.

 » Nous demandons une transition énergétique juste. Il est urgent de mettre fin au développement d’énergies sales telles que le nucléaire, le charbon, et les gaz de schiste. Les intérêts des citoyens doivent enfin passer avant ceux des grandes entreprises aux mains sales.

Montrons aux gouvernements et aux pollueurs que nous avons des solutions adaptées à la crise climatique et énergétique. Un modèle d’énergie propre et participative est possible.

Nous nous rassemblerons près du bâtiment où aura lieu la rencontre des chefs de gouvernement européens pour exprimer notre frustration face à leur manque d’action urgenteNous leur tournerons ensuite le dos et formerons une vitrine colorée d’exemples de réelles solutions énergétiques. D’inspirants discours de représentants du mouvement de la justice climatique et sociale suivront.

Boissons chaudes et en-cas sur place
Apportez vos pancartes pour soutenir la justice énergétique et climatique « 

 » Ukraine : l’Europe doit répondre à l’appel à l’aide lancé par le peuple ukrainien  » par les têtes de liste Europe-Écologie Les Verts aux élections européennes

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 » LE PLUS. Face à la crise en Ukraine, Pascal Durand, tête de liste Europe-Écologie aux élections européennes en Île-de-France, Clarisse Heusquin, tête de liste Europe-Écologie aux élections européennes (région Centre), Karima Delli, député européenne Europe-Écologie et tête de liste aux élections européennes (région Nord-Ouest), appellent l’Europe à parler fermement et à agir vite.

Des Ukrainiens se sont réunis sur la place de l’indépendance à Kiev, le 9 mars 2014 (E. LUKATSKY/SIPA).

23h. Dans le train de nuit qui relie Kiev à Odessa, nous partageons un thé avec un commerçant pakistanais pachtoune. Il parle russe et vit à Odessa depuis plus de 20 ans. Nous sommes français, il nous parle de l’Europe.

« Nous voulons que l’Europe signe un accord avec l’Ukraine. Un accord, ce sont des règles qui délimitent ce que l’on a le droit de faire et de ne pas faire, qui déterminent où vont les taxes, qui a le droit de les prélever et pour en faire quoi. Des règles que l’Ukraine sera obligée de respecter. »

Ainsi vue de Kiev, notre vieille Europe, que l’on dit pourtant épuisée et dépassée, apparaît non seulement désirable, mais surtout indispensable. Elle illustre pour un peuple opprimé par des années de pouvoir arbitraire, oligarchique et corrompu, l’idéal d’un État de droit, démocratique et pacifié.

Les bruits de bottes ne doivent pas nous faire taire

L’EuroMaïdan est né de manière informelle, d’une alliance improbable entre des nationalistes souvent jeunes et démocrates, qui tentent, au prix du sang, de fédérer autour d’une culture commune un peuple vivant sous la tutelle d’un voisin autocrate. Loin des clichés propagandistes dignes des pires heures staliniennes, l’EuroMaïdan n’est ni un mouvement néo-fasciste, ni néo-nazi.

Il suffit pour s’en convaincre de débattre au hasard des rues ou de lever les yeux sur la foultitude de drapeaux bleu et jaune marqués des étoiles européennes qui flottent au vent.

Pour autant, si des forces xénophobes et racistes, paramilitaires ou politiques, existent bel et bien en Ukraine, elles seront d’autant plus promptes à agir que les forces démocratiques naissantes peineront à se regrouper pour préparer les futures échéances électorales.

Là est la responsabilité de l’Union européenne. C’est à nous de les aider, car pendant ce temps, Vladimir Poutine mobilise ses chars et ses milices. Au nom de la protection d’une population russophone qui ne demande pourtant aucune aide, Poutine cherche à s’assurer un contrôle total sur la Crimée, voire au-delà.

Ces bruits de bottes ne doivent pas nous faire taire. Dans cette crise ukrainienne, si l’Europe ne veut pas perdre le dernier crédit qui lui reste auprès d’une population qui la regarde encore les yeux pleins d’espoir, elle doit parler fermement et agir vite.

Suspendre toute coopération militaire avec la Russie

Il ne suffira pas de soutenir l’envoi d’une commission d’enquête indépendante, même si toute la lumière sur les exactions de l’ancien régime devra être faite.

Il faudra défendre le respect de l’intégrité du territoire ukrainien que les Russes et leurs affidés contestent en Crimée et sans un recul rapide et concret de Vladimir Poutine, l’annulation de la tenue du G8 à Sotchi constituera une première mesure minimale.

Il faudra également suspendre toute coopération militaire avec la Russie. Cela concernera en premier lieu la France qui doit encore livrer deux porte-hélicoptères achetés par la Russie en 2011 et qui doit accueillir fin mars plus de 400 militaires russes à Saint-Nazaire.

Il faudra très rapidement signer un accord d’association rééquilibré entre l’UE et l’Ukraine, qui attend de l’Europe qu’elle envoie des experts pour auditer les finances publiques, structurer la justice et surveillerle bon déroulé des élections.

Au niveau économique, l’UE devra être au rendez-vous. Une réponse concertée, avec la BERD et la BEI, hors ajustements structurels, devra être négociée afin de soutenir une économie déjà lourdement atteinte, par des prédations effectuées pendant des décennies au seul profit de quelques oligarques.

Mais pour parvenir à cela, il faut que l’Europe accepte de se regarder sans fard dans le miroir que lui tend le peuple ukrainien. Et qu’y verra-t-elle ? 28 États incapables d’organiser une riposte concertée et efficace à une opération de déstabilisation menée à ses portes et de répondre concrètement à l’appel à l’aide qu’un peuple qui se révolte pacifiquement lui adresse.

N’ayons ni l’Europe timide, ni l’Europe honteuse

À l’évidence, l’Europe, qui reste pourtant à l’extérieur de ses frontières, le puissant symbole d’un espace politique fondé sur la paix, la démocratie et la solidarité entre les peuples, est impuissante à mener une politique commune, dès lors qu’il s’agit de défendre ses valeurs historiques.

L’Europe politique s’est égarée en chemin d’une construction européenne, qui n’en fait plus qu’une réalité économique, un marché bientôt sans âme et sans souffle.

Cette Europe là ne fait pas rêver, ni en Ukraine, ni chez nous. Elle a renoncé à changer le cours du monde, elle le regarde ; indifférente ou impuissante.

L’Europe voulue par nos aînés au sortir de la guerre – celle qui nous a offert la possibilité de pouvoir agir sur le cours des choses sans risquer nos vies, ni entendre manœuvrer les chars – est celle qui a permis au peuple ukrainien de trouver la force de changer son destin. C’est elle que nous devons faire revivre.

… »

Tribune co-signée par Pascal Durand, tête de liste Europe-Écologie aux élections européennes en Ile de France, ex Secrétaire national EELV, Clarisse Heusquin , tête de liste Europe-Écologie aux élections européennes, région Centre et Karima Delli, Député européenne Europe-Écologie, tête de liste aux élections européennes, région Nord-Ouest.

FÊTE DU PRINTEMPS : samedi 22 mars 2014 de 14h30 à 17h30 sur les berges du Paillon, bd Vérany

Le comité de quartier Saint Roch – Vauban,

le comité Turin/St-Roch,

le comité Pasteur/Lyautey

vous invitent à la FÊTE DU PRINTEMPS

samedi 22 mars 2014 de 14h30 à 17h30 sur les berges du Paillon, bd Vérany, face à la Passerelle

Programme :

animations, jeux, ateliers pour les enfants, ramassage citoyen, sensibilisation au respect de l’environnement, opération nourriture à partager proposés par de nombreuses associations du quartier : Jardin partagé de terra ségurana, les p’tits lutins, R cube…

Concours de déguisement et goûter offert pour les enfants.

Venez nombreux !

Olivier Bettati : « Je m’engage à devenir le Maire du rayonnement culturel et bien au-delà, faire de Nice une ville où l’on se cultive et où l’on se divertit avec intelligence »

: faire de Nice une ville où l’on se cultive et où l’on se divertit avec intelligence.

Parmi notre programme, voici 4 grands axes destinés à offrir à Nice la grande et belle culture qu’elle mérite, et rendre les Niçoises et les Niçois toujours plus fiers de leur ville.

1/ Un vrai foisonnement culturel à Nice

Libérer les énergies créatrices dans les initiatives privées, associatives ou institutionnelles par de la concertation, du dialogue pour déboucher sur des actions :

  • Favoriser les lieux alternatifs de culture .
  • Réconcilier les milieux artistiques avec les milieux socio-culturels pour une meilleure synergie globale
  • Développer les appels à projet de la Mairie, qu’ils soient de quartier ou à envergure internationale pour contribuer à ce foisonnement culturel.
  • Abroger immédiatement l’arrêté municipal qui oblige les artistes de rue à disposer d’une autorisation pour exercer leur art.
  • Création des Biennales afin de renouer avec des manifestations à caractère international.

une Biennale d’art contemporain à travers un circuit de structures publique et privée : musée et galeries d’art mais aussi dans l’espace public, en mettant en valeur les liens étroits et historiques qui existent entre Nice et l’art contemporain.
Elle se clôturera par un grand « supermarché » de l’art contemporain.

une Biennale d’art vivant autour du théâtre, de la danse, des musiques, du cirque d’aujourd’hui… Cette biennale réunirait tous les acteurs des disciplines concernées et se déroulerait à la fois dans des lieux dédiés mais aussi en plein air.

Ce nouvel événement devra avoir une très forte réalité participative avec les différentes populations et réparti sur l’ensemble de la ville.

Jean-Pierre GIUSTO, colistier et ancien directeur du Théâtre et de la Photographie : « Nice doit renouer avec la culture qu’elle mérite. Ces grands événements devront permettre de faire appel au mécénat culturel avec défiscalisation en complément des financements publics existants. »

  • Pour le jeune public :

Rouvrir le service d’animation et d’éducation artistique afin que toutes les écoles primaires de Nice puissent bénéficier d’interventions et de médiation culturelle.

Créer un théâtre permanent afin que familles et enseignants puissent trouver des spectacles de qualité et de toutes disciplines dès la maternelle.

  • Deux nouveaux forums :

Le Forum Culturel Annuel qui réunira, à l’initiative de la Mairie, tous les acteurs de la vie culturelle niçoise. Le but : faire un point d’étape annuel de l’action culturelle municipale, mais aussi des actions culturelles associatives et des initiatives individuelles d’artistes.

Olivier Bettati : «  Il nous semble important de ne pas attendre les élections pour réunir la communauté artistique et culturelle, mais bien de l’associer régulièrement dans un débat permanent afin de permettre à la Ville d’adapter les outils qu’elle met à disposition avec les besoins des acteurs de la vie culturelle. »

Nice Creative Forum. L’offre culturelle et créative à Nice est déjà importante mais ne reflète pas le foisonnement qui pourrait y régner. Il s’agira d’offrir une belle vitrine pour faire connaître la créativité niçoise, sa richesse, sa diversité, son savoir-faire, sa pertinence et son originalité.

Le NCF réunirait pour la première fois les acteurs de la culture, des industries créatives et de l’événementiel public dans un salon où chacun présentera programmes de saison et activités. Une occasion pour le public de découvrir les dynamiques créatives de Nice et pour les professionnels de se rencontrer et de débattre autour d’études de cas ou de partages d’expérience.

Jean FLORES, colistier et professionnel de la culture : «L’objectif est d’installer la culture et la créativité comme réalité et vecteur au service de l’image et de la dynamique socioéconomique de la ville de Nice. Pour favoriser ce foisonnement culturel il est impératif de  conserver l’intermittence du spectacle.»

  • Un portail culturel répertoriant toute l’offre culturelle en temps réel.
  • Une application mobile pour smartphone permettant de découvrir les lieux culturels par géolocalisation dans la ville.

Marie Chantal DI MARTINO-DHOSTE, colistière et chargée de communication culturelle : « il est urgent que la ville se dote d’un tel outil numérique à l’instar de toutes les grandes capitales régionales européennes.»

2/  Création d’un « Eco » quartier à l’est de la ville

Les espaces des abattoirs et du service de nettoiement (route de Turin) seront transformés en « Eco » quartier. Ce sera le lien entre la ville ancienne, poumon touristique de Nice, et le futur grand Palais des Foires sur la gare Saint Roch, futur bassin de développement économique.

Cet « éco » quartier sera conçu dans l’esprit du « Greenwich Village » new-yorkais afin d’offrir un vrai développement culturel. La Station travaille déjà dans cet esprit, ce qu’il faudra conserver voire amplifier.

Cet « éco » quartier accueillera entre autres :

  • Des ateliers d’artistes (pépinière européenne de jeunes artistes)
  • Des salles de répétition et de création pour le spectacle vivant
  • Des ateliers d’arts numériques dont les jeux vidéo…
  • Des « Fab Lab » : lieux ouverts au public qui mettent à disposition toutes sortes d’outils pour la conception et la réalisation d’objets, entre autres grâce aux imprimantes 3D. Une pépinière des entreprises innovantes autour des Nouvelles Technologies.
  • Et aussi des logements pour actifs et étudiants.

Olivier Bettati : « Comme nous détenons l’emprise au sol, ce projet est réalisable sur un mandat. »

3/ Repenser le Carnaval de Nice, entre tradition et modernité

59% des niçois n’ont pas apprécié les dernières festivités du Carnaval (sondage de nice-matin.com le dimanche 2 mars)…

Notre objectif est de redorer l’image de cet événement qui s’est doté d’une vraie réputation nationale et internationale depuis sa création il y a 130 ans.

  • Faire du Carnaval un vrai évènement FESTIF ET POPULAIRE pour les familles niçoises et les touristes, dans tous les quartiers pour redynamiser la vie culturelle niçoise et le tourisme.
  • Créer une Cité du Carnaval  au Palais des Expositions avec :

Un centre de ressources qui permettra la valorisation des savoir-faire des carnavaliers auprès de tous les publics : étudiants, chercheurs, historiens, enseignants, qui trouveront des réponses à leurs besoins.

Un lieu d’accueil pour les familles niçoises avec des ateliers de loisirs éducatifs.

Un lieu de de formation professionnalisante à l’artisanat d’excellence pour les jeunes : masques, costumes, chars, grosses têtes, etc.

Un lieu permanent accessible à tous : projections de films sur l’histoire du Carnaval, animations diverses autour de la culture carnavalière, ateliers de pratique et de fabrication…

Felix Eliott Kudelka, colistier et dirigeant d’une start-up : «Repenser le Carnaval permettra de redynamiser la vie culturelle niçoise et le tourisme en y associant, pendant la durée des festivités, tous les hauts lieux de la Culture Niçoise: Théâtre, Galerie, Conservatoire, Bibliothèque, … »

4/ Développer et promouvoir notre langue nissarde

  • Egalité avec les autres territoires de la République (Bretagne, Corse, Alsace…)

Création d’au moins une école bilingue

Formation dans les écoles primaires : initiation à la langue, l’histoire et la culture niçoise.

Des animations à travers des cours de cuisine niçoise dans les écoles primaires.

  • Améliorer la visibilité de la langue dans l’espace public : voirie, monuments, communication officielle, transports (tramway, bus).

Felix Eliott Kudelka : « Nice est une ville qui donne des racines à qui le veut. La culture niçoise c’est avant tout du lien social. Il s’agit désormais de réinventer nos fondamentaux pour éviter la folklorisation de notre culture. Vaulèn une cultura viva (nous voulons une culture vivante) ! »

Réunion publique sur les risques encourus par le projet du tunnel ligne 2 avec le Professeur Eric GILLI, Professeur de géologie Vendredi 14 mars à 17h30 Hotel Splendid à Nice

Réunion publique sur les risques encourus par le projet du tunnel ligne 2

En présence du Professeur Eric GILLI

Professeur de géologie à l’Université Paris 8

Chercheur sur les séismes, tsunamis et mouvements de failles dans les grottes
Expert en géologie appliquée (études de fondations et hydrogéologie)
Vendredi 14 mars
A partir de 17 H 30
A l’Hôtel Splendid
50 boulevard Victor Hugo
Nous espérons vous y retrouver nombreux.

Soutien du Dr André Minetto à la manifestation à Nice du 8 mars pour sauver le train des Merveilles, la ligne Nice-Cuneo … qu’il faudra prolonger jusqu’à Genève

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La Cuneo-Nizza Unisce  manif 8 mars 14

La Cuneo-Nizza Unisce a partagé la vidéo de Jacques Boucharif

Notre chanson avec et par Diego Origlia au rassemblement à Nice

La nostre canzonne con é per Diego Origlia al GRAND RASSEMBLEMENT NICE-PRESIDIO A NIZZA

« Racines du Pays Niçois » était aussi présent au rassemblement de soutien à notre ligne du train des merveilles, Nissa-Cunèo.

Nous avons assuré nos amis des vallées de la Roya et de la Vermeniana du soutien des associations culturelles nissardes. On a chanté, on a dansé, on a discuté, on a partagé. Cela fait du bien de voir les « Nissart » se réunir pour défendre leur patrimoine  !

  1. Photo
    JT 19-20 Côte d’Azur du 08-03-2014 en replay | Vidéo en streaming sur francetv pluzz
    pluzz.francetv.fr
    VIDEO. Manifestation à Nice pour sauver le train des Merveilles
    Les Amis azuréens du rail et le Comité franco-italien de défense de la ligne Nice-Cuneo manifestaient de nouveau, samedi à Nice, pour réclamer le rétablissement immédiat de la circulation

La section de Nice de la LDH soutient la lutte des amis du rail azuréen pour le maintien du service public et la défense de notre ligne Nice-Tende-Cuneo/Ventimiglia: le 8 mars à 11h gare de Drap et à 15h gare de Nice-Ville

 » La section de Nice de la LDH soutient la lutte des amis du rail azuréen pour le maintien du service public. 

Nous vous appelons à un grand rassemblement revendicatif et festif

SAMEDI 8 MARS :

à 11 h GARE de DRAP (organisé par les Amis du Rail)
  
 à 15 h devant la GARE de NICE-VILLE  (organisé par le comité de défense Nice-Tende)

Prises de paroles par les usagers, musique…

 Tous ensemble pour la défense du rail et de notre ligne Nice-Tende-Cuneo/Ventimiglia !

EXIGEONS d’urgence :

– du Préfet la réquisition de la SNCF pour la mise en place de navettes ferroviaires de substitution entre L’Ariane et Breil (inutile entre Breil et Tende, avec la limitation de vitesse à 40 km/h imposée par RFF), et une programmation horaire de bus compatible avec les besoins vitaux des usagers.

– de la métropole de Nice : la mise en oeuvre urgente des travaux de purge et de dégagement de l’éboulement sur ses terrains 7 mois avant que la SNCF n’envisage de rouvrir une ligne internationale qui dessert 4 vallées ! Nous n’acceptons pas d’être des citoyens méprisés.

La liberté de circuler est une des bases de l’économie vitale des territoires, de leur égalité, et de la démocratie ! La SNCF doit assurer sa mission de service public . »

Ligue des droits de l’Homme

Section de Nice

contact-mails  : liguenice+contact@gmail.com
T : @liguenice  F :  www.facebook.com/ldhnice

courrier : Maison des associations 12, ter Pl Garibaldi 06300 Nice

NOEMYA présentera son livre  » De la rage dans mon cartable » et ZINE présentera son show  » Folie Douce » le 7 mars à 21h salle Black box CAL Bon voyage à Nice

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#NOEMYA présentera son livre  » De la rage dans mon cartable »,
témoignage du harcèlement à l’école,
en intercalant quelques uns de ses meilleurs textes slam, tirés du livre,
plus d’infos : http://www.cooperativechanson.org/artistes/noemya/

et ensuite,
#ZINE présentera son show  » Folie Douce »
après 3 jours de résidence lumière….ça va envoyer !!
plus d’infos :
http://www.cooperativechanson.org/artistes/zine/

Entrée libre,
avec participation à la collecte pour la banque alimentaire
(exemple : 1kg de pâte, de riz, quelque chose qui se mange et se conserve)
http://associations.nice.fr/-Banque-Alimentaire-des-Alpes-.html

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RAPPEL : Participons à la consultation publique « interdiction des OGM » jusqu’au 9 mars 2014

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 » Document réalisé par Agir pour l’environnement, les Amis de la Terre, APSODA, Confédération Paysanne, CLVL Paris, FNAB, FNE, GIET, Greenpeace, UNAF.

- Le 17 février, le ministère de l’Agriculture a lancé une consultation publique sur un projet d’arrêté visant l’interdiction de la commercialisation et l’utilisation des variétés de semences de maïs GM (http://agriculture.gouv.fr/Consulta…). Chacun peut y participer (jusqu’au 9 mars 2013) et faire part au gouvernement de ses remarques sur ce texte en envoyant un mail à cette adresse :consultation.ogm.dgal@agriculture.gouv.fr

- Vous trouverez ci-dessous une analyse de nos différentes organisations vis-à-vis de ce projet d’arrêté. N’hésitez pas à reprendre et reformuler cet argumentaire si vous souhaitez participer à la consultation. Il est important que votre participation ne soit pas un copié-collé du texte ci-dessous, faute de quoi celle-ci ne serait pas prise en compte.

- Le projet d’arrêté devrait viser plus clairement l’interdiction de « la culture » des semences de maïs MON810 et non seulement la commercialisation et l’utilisation de ces semences. Il faut ajouter la notion de culture à l’article 1 de l’arrêté : formulation proposée de l’article 1 du projet d’arrêté : « La commercialisation, l’utilisation et la culture de semences de variétés de maïs issues de la lignée de maïs génétiquement modifié MON810… ».

- Le projet actuel prend appui sur deux bases juridiques européennes : la directive 2002/53 qui ne permet de suspendre que la commercialisation des semences, et le règlement 1829/2003 qui permet de prendre une interdiction plus globale mais sur la base d’arguments scientifiques uniquement… Ce projet d’arrêté devrait utiliser une troisième base juridique du droit européen : l’article 26bis de la directive 2001/18 qui permet de défendre les filières sans OGM.  _
- Le gouvernement français, sur la base de l’article 26bis de la directive 2001/18, doit demander d’interdire la culture d’OGM là où d’autres filières sont particulièrement menacées. Et c’est précisément le cas pour l’apiculture, les maïs population, les filières « sans OGM », biologiques, signes de qualité excluant les OGM… Ainsi que la loi française le précise (article 2 de la loi n°2008-595), la culture des OGM ne peut se faire que dans le respect de ces filières.

- L’article 26bis doit permettre d’ouvrir le débat sur la culture des OGM à d’autres considérations notamment économiques, qui ne sont prévues ni par le règlement 1829/2003 ni par la directive 2002/53. En effet, il est extrêmement problématique qu’un État ne puisse pas interdire les OGM dans des zones qui menacent des productions installées traditionnellement, sans être obligé de démontrer l’existence d’un risque sanitaire et environnemental.

- L’intérêt économique, social, patrimonial et culturel de telles filières est une réalité qu’un État doit pouvoir défendre. La production de semences « non OGM » est aussi une activité économique en tant que tel. Et la France exporte de telles semences certifiées « non OGM ». Ce serait donc un manque à gagner que de ne pas protéger toutes ces productions. La culture des OGM menace irrémédiablement la production de pollen par les apiculteurs (les apiculteurs vendent du miel, mais également d’autres produits comme le pollen). La présence d’OGM dans le pollen devra être étiquetée et le pollen deviendra invendable. Avec la culture des OGM, il sera donc impossible de produire du pollen dans certaines régions.
La culture des OGM limitera fortement le développement des surfaces en agriculture biologique et sa compétitivité, alors même que la demande dépasse largement la production française et continue d’augmenter. La bio est l’un des secteurs agro-alimentaires les plus dynamiques économiquement aujourd’hui.

- L’organisation de la coexistence impliquerait de nombreux coûts qui sont aujourd’hui impossibles à chiffrer (Haut Conseil des Biotechnologies, recommandations du 14/12/11). Ces coûts sont en tout cas bien supérieurs aux avantages que pourraient retirer les agriculteurs de cette culture, étant entendu d’une part qu’il existe de nombreuses méthodes alternatives efficaces et que, d’autre part qu’il n’y a pas d’intérêt direct pour les consommateurs à la culture ou à l’utilisation de cet OGM.

- La France n’a à ce jour défini aucune règle de coexistence. De telles règles doivent connaître une flexibilité pour tenir compte des spécificités territoriales et de ce fait, être élaborées en concertation avec les acteurs d’un même territoire, à l’échelle locale. En l’absence de réflexion sur l’organisation de la coexistence, en l’absence d’expérimentations scientifiques indispensables à la définition de ces règles, la mise en place de règles de coexistence n’est pas envisageable d’ici les semis 2014.

Sites Web : Consultation publique interdiction des OGM

COLLOQUE PUBLIC « Changement d’échelle de la bio : la coopération en débat » à Marseille le 26 mars 2014 à partir de 16h30 – AG FNAB (Fédération nationale de l’agriculture biologique)

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Moment fort de la vie du réseau FNAB, il s’agit aussi d’une première en PACA et d’une occasion unique de mettre en valeurs nos productions locales ainsi que les partenaires historiques de l’agriculture biologique régionale.

« Le développement quantitatif de la bio est un enjeu fort des politiques publiques. Après les objectifs du Grenelle de l’environnement (20% de bio en 2020), le programme Ambition bio 2017 a voulu se donner un horizon plus « réaliste » de 8% de la SAU en bio d’ici la fin du mandat alors que la France compte aujourd’hui 4% de sa surface agricole en bio. Certaines régions, comme Provence Alpes Côte d’Azur, comptent déjà plus de 10% de leur SAU en bio (15% pour PACA) et affichent des objectifs plus ambitieux encore.

Dès 2011, l’Assemblée générale de la FNAB a débattu des conditions qualitatives de ce développement de la filière bio au regard des opportunités et des risques du changement d’échelle. Cette réflexion a débouché sur une « recherche action » menée avec des producteurs et des chercheurs pour une « nouvelle économie bio » relocalisée, solidaire, équitable et surtout durable.

Au coeur de cette nouvelle économie bio, il y a la « coopération » entre les producteurs et les parties prenantes (aval, pouvoirs publics, consommateurs). Cette coopération prend des formes très diversifiées selon les territoires, les filières, les acteurs. Elle interroge la gouvernance au sein des structures que ce soient des organisations de producteurs bio, des coopératives ayant développées une activité bio à côté de leur activité conventionnelle ou encore des structures innovantes de coopération associant plusieurs types d’acteurs. Autour de témoignages variés ce colloque interroge les formes de coopérations. Dans quelles conditions sont-elles à même d’accompagner le développement d’une agriculture biologique durable ? Quel type de gouvernance peut garantir un équilibre entre les impératifs économiques et un projet éthique solidaire et durable ? Quant aux coopératives mixtes, peuvent-elles concilier ce développement de la bio sans conflit d’intérêt avec leur activité conventionnelle ? Quel rôle pour le réseau de la FNAB ? Quel rôle pour les pouvoirs publics ?

Programme
Accueil  : 16h30
16h50  : Introduction : Alain Delangle : Quelles coopérations pour accompagner un changement d’échelle de la bio ? – Marie Maurage : Mobiliser en PACA pour éveiller la coopération économique autour de la bio
17h15  : La coopération agricole et le développement de la bio Solebio, Philippe Girard, président : De la mise en place à la consolidation d’une organisation de producteurs bio de F&L dans le contexte de changement d’échelle. Teraneo, Exemple d’une coopérative de F&L de Languedoc Roussillon : Opportunité, demande des adhérents ? Quand, pourquoi et comment l’activité bio s’est-elle développée ? Coop de France : Quelle place des producteurs bio dans les coopératives ayant une double activité conventionnelle et bio ? En quoi les nouvelles lois, « Hamon » et « avenir agricole », impactent-elles la gouvernance des coopératives ?

Débat avec la salle
18h10  : De nouvelles formes de coopération pour une bio reliant acteurs et territoires Sicaba, Luc Mary : développer la bio et s’inscrire dans une SCIC territoriale
FRALIB : un projet de coopération ouvrière dans le cadre d’une filière bio PPAM
Conseil Régional PACA, Mireille PEIRANO, Vice-présidente : quelles politiques régionales pour accompagner le changement d’échelle de la bio en PACA ?

Débat avec la salle. 19h  : Conclusion par un grand témoin, Claire Lamine, sociologue à l’INRA (Ecodéveloppement, Avignon), présentation du programme de filières bio durable en Europe.

MERCREDI 26 MARS DE 16H30 À 19H30 À MARSEILLE DANS LE CADRE DE L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DE LA FNAB :
AMPHITHÉÂTRE MPM – LE PHARO 58 BD CHARLES LIVON MARSEILLE
ACCESSIBLE EN BUS DEPUIS LES LIGNES N°81, 82 OU 83 : ARRÊT LE PHARO  »