Archives de catégorie : Municipales 2014

« Le Front de Gauche ne sera plus représenté au Conseil municipal de Nice : grave pour notre démocratie après le travail fourni au ses élus » Dr André Minetto

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« Le Front de Gauche ne sera plus représenté au Conseil municipal de Nice à cause du refus de Patrick Allemand de fusionner sa liste et celle de Robert Injey.

Nice, ville de Max et Virgile Barel ( Parti communiste ), et de tant d’autres de cette mouvance politique qui se sont battus pour elle dans la Résistance et au cours des décennies qui ont suivi jusqu’à nos jours.

N’étant pas communiste, mais étant militant écologiste et associatif et étant souvent sur le terrain, j’ai apprécié la présence et la combattivité de femmes et d’hommes politiques comme Emmanuelle Gaziello, Jacques Victor et d’autres politiques de ce parti.

Et sur le principe, je trouve très grave pour la démocratie et très dommageable pour notre territoire que soit ainsi éliminée une composante traditionnelle et active du paysage politique niçois. »

Dr André Minetto

Ex Trésorier et Membre du bureau du Comité de quartier RIQUIER BARLA REPUBLIQUE RISSO

Membre du Comité de quartier VAUBAN – SAINT ROCH et acteur de la défense du Parc Vauban

Secrétaire général de l’Association des « Jardins partagés de Saint Roch »

Membre du Bureau de l’APIL – NICE EST ( Association des Professionnels Indépendants et Libéraux de SAINT ROCH )

Membre du Conseil Communal Consultatif de Nice

Vice Président du Collectif des Comités de quartiers de Nice

Participant au recours judiciaire contre le tram sous terrain avec Me Marc Concas

Membre du Bureau d’une association d’ESS ( Economie Sociale et solidaire )

Membre du Conseil d’Administration du RES (RÉSEAU ENVIRONNEMENT SANTÉ)

Président de CIVILIZATION INTERNATIONAL, association de géostratégie solidaire et de dialogue interculturel

Animateur et créateur du MAGAZINE D’INFORMATION GÉOSTRATÉGIQUE sur RADIO CHALOM NITSAN

Vice-Président PACA de la FÉDÉRATION MOSAÏC, regroupant les Français de sensibilité musulmane ou ouverts sur les civilisations musulmanes

Projet de ligne 2 du tram en souterrain le Professeur Eric Gilli, un géologue inquiet dans Direct matin Côte d’Azur

« Le candidat à la mairie de Nice Olivier Bettati a convié, hier soir, dans l’auditorium du Mamac, le géologue niçois Eric Gilli, pour une conférence publique sur le projet de ligne 2 du tram défendu par le maire sortant Christian Estrosi. Un tracé dont la partie la plus orientale (sur 3,2km) devrait être enterrée. L’expert a notamment mis l’accent sur les risques d’une telle entreprise par rapport à la grande diversité du sous-sol niçois, avec la présence de cours d’eau et de gypse. « Cette roche friable n’est rien d’autre que de la pierre à plâtre », a prévenu Eric Gilli. «C’est la présence de cette roche, alliée à la modification du cheminement des cours d’eau souterrain qui ont conduit à la fissuration d’un immeuble de la rue Foresta ou encore de celui la chapelle de la miséricorde, sur le Cours Saleya », se souvient-il.

Tassements et liquéfaction`

Pendant près d’une heure et demie, le spécialiste en géologie et hydrologie a dénoncé les problèmes de tassement et de liquéfaction des sols que pourraient engendrer le creusement d’un tunnel parfaitement étanche. «A Nice, nous ne sommes pas en présence de l’environnement simpliste qui est présenté dans le projet de la métropole », a précisé Eric Gilli. Au port, l’eau présente en sous sol ne vient pas seulement de la mer, mais aussi du Paillon, assure t-il. Pour lui, « le projet n’est pas impossible mais il entrainerait des surcouts importants». Des frais supplémentaires que le candidat Olivier Bettati juge « insupportables » pour les finances de la Métropole Nice Côte d’Azur « déjà très désendettée ». « En 2005, lorsque j’ai voté le projet, j’ai cru les études qui m’ont été présentées (…) Après avoir rencontré monsieur Gilli, ça été une véritable douche froide».

« Une mécanique sans fin » ?

Pour l’expert, le tracé engendrera des dégâts matériels sur de nombreux bâtiments. Ce qui débouchera sur des recours devant la justice. De plus, les études officielles étant, selon lui, trop peu approfondis, des imprévus seront rencontrés par Bouygues, l’entreprise en charge du creusement du tunnel et des stations. « C’est une mécanique sans fin », prévient-il, estimant que le milliard d’euros de budget pourrait être dépassé pour le projet global.  »

 

Deuxième conférence du Professeur Eric Gilli Jeudi 20 Mars 2014 à 17H30 auditorium du MAMAC (Musée d’Art Moderne et Contemporain)

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Le vendredi 14 Mars 2014, le Professeur Eric Gilli, spécialiste, mondialement reconnu, des risques géologiques a donné une conférence à l’Hôtel Splendid, boulevard Victor Hugo pour dénoncer la folie de vouloir creuser un tunnel sous le centre ville. Le deuxième quartier en grand danger est le quartier du Port et de Garibaldi.

Les risques sont encore plus grands avec la présence de nappes importantes de gypse (nous rappelons simplement que l’effondrement du tunnel qui traverse Toulon était du à une importante poche de gypse). De plus c’est un quartier protégé dont le patrimoine historique court un très grand danger. Sans compter, en plus, le danger encouru par les vieux immeubles du quartier (mouvement de terrain, fissures, écroulement…) et les tonnes d’ennuis à venir pour les propriétaires des rues Antoine Gautier, Ségurane et de la place Garibaldi.

Il vous faut savoir, aussi, que l’entreprise, si elle découvre des difficultés lors du creusement peut arrêter le chantier et demander des avenants que nous contribuables devront payer: en définitive ce chantier pourrait se monter à plus d’un milliard d’euros).

C’est pourquoi nous vous invitons à venir écouter le professeur Eric Gilli qui donnera une deuxième conférence dans ce quartier, Jeudi 20 Mars 2014, à partir de 17H30, à l’auditorium du Musée d’Art Moderne (qui entre parenthèse risque lui aussi d’en prendre un coup si un tunnel est creusé au dessous). Venez vous faire votre propre opinion, venez poser les questions qui vous préoccupent au Professeur Gilli. Et prévenez vos parents, amis et voisins…

A jeudi !

Lettre ouverte d’Olivier Bettati aux propriétaires et locataires concernés par le tracé de la ligne 2 du tram / Conférence du Pr Professeur Eric Gilli au Splendid à 17h30 vendredi 14 mars à Nice

1897834_10201724443014922_1278208728_n« Madame, Monsieur,

Contrairement aux affirmations du maire sortant, le débat sur le futur tunnel de la ligne 2 du tramway est toujours d’actualité.
Il est un des enjeux majeurs de cette élection municipale car il engage l’avenir de Nice.

Nombreux sont ceux qui depuis plusieurs mois, alertent l’opinion publique niçoise sur le risque majeur qu’un tunnel souterrain ferait courir à vos habitations en raison de la nature particulière du sous-sol.
Je comprends ces inquiétudes et je les partage.

Soucieux de faire toute la lumière sur les risques encourus, j’ai sollicité l’expertise du

Professeur Eric Gilli

Professeur de géologie à l’Université Paris 8

Chercheur sur les séismes, tsunamiset mouvements de failles dans les grottes

Expert en géologie appliquée (étude de fondations et hydrologie)

Celui-ci vient de me remettre les résultats de son étude géologique. »

Olivier Bettati

« J’ai participé au recours judiciaire engagé contre ce tracé souterrain avec notamment Marc Concas ( à l’origine du recours ), Jean Christophe Picard, Christian Razeau .. etc

Au plaisir de vous rencontrer au Splendid à 17h30 vendredi 14 mars à Nice  »

Dr André Minetto

Olivier Bettati : « Je m’engage à devenir le Maire du rayonnement culturel et bien au-delà, faire de Nice une ville où l’on se cultive et où l’on se divertit avec intelligence »

: faire de Nice une ville où l’on se cultive et où l’on se divertit avec intelligence.

Parmi notre programme, voici 4 grands axes destinés à offrir à Nice la grande et belle culture qu’elle mérite, et rendre les Niçoises et les Niçois toujours plus fiers de leur ville.

1/ Un vrai foisonnement culturel à Nice

Libérer les énergies créatrices dans les initiatives privées, associatives ou institutionnelles par de la concertation, du dialogue pour déboucher sur des actions :

  • Favoriser les lieux alternatifs de culture .
  • Réconcilier les milieux artistiques avec les milieux socio-culturels pour une meilleure synergie globale
  • Développer les appels à projet de la Mairie, qu’ils soient de quartier ou à envergure internationale pour contribuer à ce foisonnement culturel.
  • Abroger immédiatement l’arrêté municipal qui oblige les artistes de rue à disposer d’une autorisation pour exercer leur art.
  • Création des Biennales afin de renouer avec des manifestations à caractère international.

une Biennale d’art contemporain à travers un circuit de structures publique et privée : musée et galeries d’art mais aussi dans l’espace public, en mettant en valeur les liens étroits et historiques qui existent entre Nice et l’art contemporain.
Elle se clôturera par un grand « supermarché » de l’art contemporain.

une Biennale d’art vivant autour du théâtre, de la danse, des musiques, du cirque d’aujourd’hui… Cette biennale réunirait tous les acteurs des disciplines concernées et se déroulerait à la fois dans des lieux dédiés mais aussi en plein air.

Ce nouvel événement devra avoir une très forte réalité participative avec les différentes populations et réparti sur l’ensemble de la ville.

Jean-Pierre GIUSTO, colistier et ancien directeur du Théâtre et de la Photographie : « Nice doit renouer avec la culture qu’elle mérite. Ces grands événements devront permettre de faire appel au mécénat culturel avec défiscalisation en complément des financements publics existants. »

  • Pour le jeune public :

Rouvrir le service d’animation et d’éducation artistique afin que toutes les écoles primaires de Nice puissent bénéficier d’interventions et de médiation culturelle.

Créer un théâtre permanent afin que familles et enseignants puissent trouver des spectacles de qualité et de toutes disciplines dès la maternelle.

  • Deux nouveaux forums :

Le Forum Culturel Annuel qui réunira, à l’initiative de la Mairie, tous les acteurs de la vie culturelle niçoise. Le but : faire un point d’étape annuel de l’action culturelle municipale, mais aussi des actions culturelles associatives et des initiatives individuelles d’artistes.

Olivier Bettati : «  Il nous semble important de ne pas attendre les élections pour réunir la communauté artistique et culturelle, mais bien de l’associer régulièrement dans un débat permanent afin de permettre à la Ville d’adapter les outils qu’elle met à disposition avec les besoins des acteurs de la vie culturelle. »

Nice Creative Forum. L’offre culturelle et créative à Nice est déjà importante mais ne reflète pas le foisonnement qui pourrait y régner. Il s’agira d’offrir une belle vitrine pour faire connaître la créativité niçoise, sa richesse, sa diversité, son savoir-faire, sa pertinence et son originalité.

Le NCF réunirait pour la première fois les acteurs de la culture, des industries créatives et de l’événementiel public dans un salon où chacun présentera programmes de saison et activités. Une occasion pour le public de découvrir les dynamiques créatives de Nice et pour les professionnels de se rencontrer et de débattre autour d’études de cas ou de partages d’expérience.

Jean FLORES, colistier et professionnel de la culture : «L’objectif est d’installer la culture et la créativité comme réalité et vecteur au service de l’image et de la dynamique socioéconomique de la ville de Nice. Pour favoriser ce foisonnement culturel il est impératif de  conserver l’intermittence du spectacle.»

  • Un portail culturel répertoriant toute l’offre culturelle en temps réel.
  • Une application mobile pour smartphone permettant de découvrir les lieux culturels par géolocalisation dans la ville.

Marie Chantal DI MARTINO-DHOSTE, colistière et chargée de communication culturelle : « il est urgent que la ville se dote d’un tel outil numérique à l’instar de toutes les grandes capitales régionales européennes.»

2/  Création d’un « Eco » quartier à l’est de la ville

Les espaces des abattoirs et du service de nettoiement (route de Turin) seront transformés en « Eco » quartier. Ce sera le lien entre la ville ancienne, poumon touristique de Nice, et le futur grand Palais des Foires sur la gare Saint Roch, futur bassin de développement économique.

Cet « éco » quartier sera conçu dans l’esprit du « Greenwich Village » new-yorkais afin d’offrir un vrai développement culturel. La Station travaille déjà dans cet esprit, ce qu’il faudra conserver voire amplifier.

Cet « éco » quartier accueillera entre autres :

  • Des ateliers d’artistes (pépinière européenne de jeunes artistes)
  • Des salles de répétition et de création pour le spectacle vivant
  • Des ateliers d’arts numériques dont les jeux vidéo…
  • Des « Fab Lab » : lieux ouverts au public qui mettent à disposition toutes sortes d’outils pour la conception et la réalisation d’objets, entre autres grâce aux imprimantes 3D. Une pépinière des entreprises innovantes autour des Nouvelles Technologies.
  • Et aussi des logements pour actifs et étudiants.

Olivier Bettati : « Comme nous détenons l’emprise au sol, ce projet est réalisable sur un mandat. »

3/ Repenser le Carnaval de Nice, entre tradition et modernité

59% des niçois n’ont pas apprécié les dernières festivités du Carnaval (sondage de nice-matin.com le dimanche 2 mars)…

Notre objectif est de redorer l’image de cet événement qui s’est doté d’une vraie réputation nationale et internationale depuis sa création il y a 130 ans.

  • Faire du Carnaval un vrai évènement FESTIF ET POPULAIRE pour les familles niçoises et les touristes, dans tous les quartiers pour redynamiser la vie culturelle niçoise et le tourisme.
  • Créer une Cité du Carnaval  au Palais des Expositions avec :

Un centre de ressources qui permettra la valorisation des savoir-faire des carnavaliers auprès de tous les publics : étudiants, chercheurs, historiens, enseignants, qui trouveront des réponses à leurs besoins.

Un lieu d’accueil pour les familles niçoises avec des ateliers de loisirs éducatifs.

Un lieu de de formation professionnalisante à l’artisanat d’excellence pour les jeunes : masques, costumes, chars, grosses têtes, etc.

Un lieu permanent accessible à tous : projections de films sur l’histoire du Carnaval, animations diverses autour de la culture carnavalière, ateliers de pratique et de fabrication…

Felix Eliott Kudelka, colistier et dirigeant d’une start-up : «Repenser le Carnaval permettra de redynamiser la vie culturelle niçoise et le tourisme en y associant, pendant la durée des festivités, tous les hauts lieux de la Culture Niçoise: Théâtre, Galerie, Conservatoire, Bibliothèque, … »

4/ Développer et promouvoir notre langue nissarde

  • Egalité avec les autres territoires de la République (Bretagne, Corse, Alsace…)

Création d’au moins une école bilingue

Formation dans les écoles primaires : initiation à la langue, l’histoire et la culture niçoise.

Des animations à travers des cours de cuisine niçoise dans les écoles primaires.

  • Améliorer la visibilité de la langue dans l’espace public : voirie, monuments, communication officielle, transports (tramway, bus).

Felix Eliott Kudelka : « Nice est une ville qui donne des racines à qui le veut. La culture niçoise c’est avant tout du lien social. Il s’agit désormais de réinventer nos fondamentaux pour éviter la folklorisation de notre culture. Vaulèn une cultura viva (nous voulons une culture vivante) ! »

« Palmarès des maires: Nice peut mieux faire » dans L’Express … et elle le fera encore mieux avec le nouveau maire en avril 2014 – ESTROSI BASTA !!

On s’en doutait : le maire de Nice « peut mieux faire » ! Mais, cette fois, c’est L’Express qui l’écrit. En effet, l’hebdomadaire vient d’établir un palmarès des maires des grandes villes selon lequel Christian Estrosi « ne se classe qu’au treizième rang sur 34 – une place modeste compte tenu de la population de sa ville » et de l’atout que représente Nissa la bella … un vrai gâchis avec un si beau diamant !!

Et le magazine enfonce le clou : « ses plus mauvais résultats, le maire les enregistre d’abord dans le domaine économique, où il termine dernier ex aequo. […] Estrosi récolte aussi un zéro pointé dans le domaine de la solidarité, où il prend également la dernière place (ex aequo, là encore). » Et dans le domaine Développement durable c’est aussi catastrophique. Vivement début avril et un nouveau Maire !

Voici le détail de ce classement (sur 34 grandes villes) catastrophique pour l’écologie, l’économie, la solidarité, la fiscalité et l’emploi; et très moyen sur la sécurité ab-vec la 1ère police municipale de france et le plus grand nombre de caméras de surveillance :

– Classement général : 13e
– Culture : 3e
– Urbanisme : 5e
– Influence : 8e
– Transport en commun : 9e
– Sécurité : 10e
Développement durable : 19e
Fiscalité : 22e
Développement économique : dernier
Solidarité : dernier

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/palmares-des-maires-nice-peut-mieux-faire_1495068.html#FJK1b3yS3IGvJXqZ.99

 » Christian Estrosi se classe 13e sur 34 dans notre palmarès des maires de grandes villes. Loin derrière Alain Juppé (Bordeaux) et Gérard Collomb (Lyon), mais devant ses voisins Jean-Claude Gaudin (Marseille) et Hubert Falco (Toulon).

Dans le domaine des transports, l’édile est également plutôt bien placé, en 9e position. Les données chiffrées sur lesquelles s’est en partie appuyé notre jury plaident en sa faveur. La fréquentation des transports en commun a ­fortement augmenté (+48%) au cours du mandat -l’une des progressions les plus nettes de France après Toulouse. L’effet tramway joue à plein. Pourtant, c’est à son prédécesseur, Jacques Peyrat, que les Niçois doivent ce nouveau mode de transport public, plébiscité par les usagers. « La ligne 1 a été inaugurée avant l’élection de Christian Estrosi. Au cours de son mandat, il n’a réalisé que 450 mètres supplémentaires, entre Pont-Michel et l’hôpital Pasteur », ­observe le communiste Robert Injey. Les besoins de transports en commun restent d’ailleurs énormes, contraignant les habitants à utiliser encore massivement la voiture individuelle ou le deux-roues. Selon les données nationales les plus récentes (2010) ils ne sont que 22% à fréquenter les transports en commun, loin derrière Lyon (36%) et Lille (32%).

Le chômage a nettement augmenté

Ses plus mauvais résultats, le maire les enregistre d’abord dans le domaine du développement économique, où il ­termine dernier ex aequo. Christian Estrosi souffre de la dégradation du climat local. Le chômage a nettement augmenté entre 2008 et 2013 dans le bassin d’emplois niçois, passant de 6,8% à 10,6% de la population active. Les installations d’entreprises dans les nouvelles zones d’activités de la Plaine du Var, comme Schneider Electric, qui a quitté Antibes pour Carros en 2011 avec 350 salariés, n’ont pas suffi à ­endiguer le phénomène. « En 2008, le candidat Estrosi nous avait annoncé une stratégie économique créatrice de plusieurs milliers d’emplois dans l’opération d’intérêt national (OIN) de la Plaine du Var. Or, les opérations les plus spectaculaires sont les transferts des sièges régionaux d’ERDF et de Veolia, donc de simples transferts d’emplois, pas des créations nettes », observe Patrick Allemand.

Pas suffisamment de places pour la petite enfance

Estrosi récolte aussi un zéro pointé dans le domaine de la solidarité, où il prend également la dernière place (ex aequo, là encore). Non seulement il s’exprime peu sur ce sujet, mais les indicateurs disponibles pour évaluer son bilan ne sont pas fameux. Ainsi de la lutte contre le racisme, par exemple. Selon un baromètre établi en 2013 par le Conseil représentatif des associations noires de France, qui a audité les politiques de lutte contre le racisme de toutes les grandes villes, cette question n’est ­visiblement pas une préoccupation de la mairie de Nice, contrairement à ­Toulouse, Dijon ou Grenoble. Même constat médiocre du côté de la petite enfance. Nice n’offre pas suffisamment de places en accueil collectif (crèches, haltes-garderies, assistantes maternelles) pour répondre à la demande des parents d’enfants de moins de 3 ans. Seuls 41% des petits Niçois bénéficient de ces modes de garde (contre 81,5% au Mans, numéro un). Un domaine dans lequel on constate d’ailleurs un réel ­clivage entre le nord et le sud de la France : Toulon, Nîmes et Marseille sont encore moins bien placées que Nice.

Depuis 2008, le maire a pourtant fait un effort pour réduire les listes d’attente. Plusieurs nouvelles structures ont été créées, qui accueillent environ 470 enfants supplémentaires, dont ­plusieurs établissements mixtes ville-entreprises. Mais l’objectif des 1000 places promises par le candidat en 2008 n’est pas atteint. Résultat: avec 41 places en accueil collectif pour 100 enfants de moins de 3 ans, Nice reste loin, très loin de Tours, Rennes, Dijon, Nantes, Besançon et surtout Le Mans, où l’on atteint les 81%. Alors, en attendant mieux, et pour aider les familles, le maire a instauré une allocation de 200 euros pour les parents inscrits en liste d’attente dans les crèches municipales.   »

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/palmares-des-maires-nice-peut-mieux-faire_1495068.html#FJK1b3yS3IGvJXqZ.99

Pour une écologie, au service de l’aménagement du territoire, de l’emploi, de la santé, des transports, du logement et de la qualité de vie au sens large ( bien vivre et travailler au pays ) …

Le 30 mars 2014, votez Mon Parti c’est Nice ! Votez Olivier BETTATI !

En effet, l’écologie ne se réduit pas aux petites fleurs et à la verdure !

Il faut aller vers un  développement de l’économie verte et de l’innovation avec une dynamisation forte de l’emploi. Et tout faire pour obtenir une ville apaisée, dynamique, culturelle, vivante et attrayante pour tous, habitants, actifs y travaillant, touristes … etc.

Et que l’on n’ait pas l’impression de subir un cessez-le-feu tous les soirs vers 20 heures avec des rues désertes dans presque tous les quartiers, avec le sentiment d’insécurité qui va avec pour les plus sensibles, renforcé par la disparition des lieux de vie ( commerces de proximité, lieux de culture, espaces d’amusement pour les jeunes … )

Donc proposer un changement radical dans la gestion générale de la ville notamment dans les domaines du logement, des transports, de la gestion des finances publiques, de l’emploi, de la sécurité, de l’éthique, de l’écologie, de la défense de la culture niçoise, du vivre ensemble, de la culture, du respect de la dignité humaine, de la santé ….

Car il faut changer d’orientation dans pas mal de domaines ! Et nous aurons la possibilité de le faire en cas de réussite de notre liste « Mon parti c’est Nice » avec Olivier Bettati !

Comment y arriver ?

Il faut avant tout :

 l’établissement de la règle de marchés publics «  verts « en imposant une éco-conditionnalité dans les marchés publics ( subordonner le choix au respect des normes environnementales), et pour l’ensemble des aides et financements municipaux ( entreprises, associations … etc)

– le vote d’un PME business Act aussi pour raison écologique, et cela aidera nos entreprises locales, avec formation organisée par la commune pour les entreprises,

–  un moratoire sur les grandes surfaces ( création ou extension ) des grandes surfaces pendant toute la durée du mandat ( 6 ans ),

 la création d’un label local de qualité ( fach’ en countea ).

Et voici les grands domaines » Aménagement du territoire – Développement durable – Ecologie – Economie verte – Qualité de vie – Santé/Environnement …  » de notre future gestion municipale, sans hiérarchisation et de façon non exhaustive :

1 Aménager harmonieusement le territoire pour le bien de tous / Favoriser une économie verte pour créer de nombreux emplois

Buts : Assurer pour tous des conditions de vie, de déplacement, de logement et de travail dignes et agréables; permettre aux PME, PMI, petits commerces, artisanats de se développer, favoriser le vivre au pays, aider à l’installation du télétravail, protéger nos terres nourricières et aider à l’installation d’agriculteurs, avoir plus de végétal et moins de minéral.

Moyens :

1.1 Revoir entièrement l’OIN ( voir par ailleurs projet spécifique ) afin de préserver la fonction nourricière et hydraulique de la Vallée du Var, stopper le déplacement du MIN,  pérennisele devenir du stade du Ray avec conservation et ouverture au public, de 2 bâtiments, de terrains de sport  et de zones vertes, création de parkings … etc ( voir par ailleurs projet spécifique );

1.2 Réussir la proximité avec des zones de services décentralisés dans les Mairies d’arrondissement pour relocaliser les services anciens et nouveaux aux citoyens ( PMI, accompagnement des aidants des seniors dépendants et des handicapés, emploi, éducation, sécurité, santé, services décentralisés, démarches administratives, éducation à la santé et à la consommation, associations, lieu de rencontre inter-générationnels … ), avec camionnettes d’action « polyvalente » pour tout réparer ou changer rapidement;

1.3 conserver et reconquérir des zones à vivre, attrayantes et végétalisées, stopper l’étalement urbain et construire la ville sur la ville avec un nouveau Consiglio d’Ornato architectural et végétal; développer un éco-quartier à Nice est;

1.4 Créer des emplois par l’Economie verte dans chaque arrondissement :

– Produire localement des ENR – énergies renouvelables ( voir plus loin ) ,

– Redévelopper la filière bois, et créer une filière « réhabilitation et isolation des bâtiments » ( chanvre, liège … );

– Promouvoir la gastronomie et la production alimentaire locale, bio et les circuits courts;

– favoriser les cultures nourricières : cultures potagères généralisées (  toits, plates-bandes, jardins partagés, jardins citoyens …etc ); développer l’utilisation et la culture en coopératives des fibres naturelles ( chanvre, lin, laine … );

– revoir entièrement le traitement des déchets avec baisse du volume de collecte à la source, compostage, pesée-embarquée, recyclage avec fabrication locale .. etc ( voir plus loin );

1.5 – Création d’un Pole municipal central spécialisé « ENR – Energies Renouvelables » facilitateur et incitateur, et en Mairies d’arrondissement pour aider les formateurs ( des écoles à l’Université ), particuliers, chercheurs, entreprises, syndics, promoteurs…, et inciter à créer une Charte de fiabilité en cas de faillite;

1.6 Promouvoir le tourisme vert : circuit vert dans la ville ( arboretums décentralisés ) maisons d’hôte, Bed and breakfast bio, découvertes naturelles maritimes …;

1.7 Elaborer des Projets Utiles à Dimension Humaine, culturels, créateurs d’emploi, pédagogiques et touristiques pour chaque arrondissement :

– Grand hall d’exposition au-dessus de la Gare St Roch ( foires ),

– Cité des Sciences ( naturelles / Musée Barla, Arboretum et Planétarium ),

– Solar Valley,

– Cité de la Santé …

2 Produire et consommer l’énergie autrement 

Buts :

La ville doit donner l’exemple à travers tous ses bâtiments publics.

autonomie énergétique à moyen terme ( dépendance actuelle des autres départements : 90% ), baisse de ces dépenses financières in fine pour les foyers, diminution de la consommation, développement des ENR et rénovation thermique des bâtiments

Moyens :

– création d’une société d’économie mixte pour le développement de la transition énergétique où l’animateur est la municipalité et son Pôle Energies, pour aider les adhérents ( particuliers, commerçants, supermarchés, artisans, PME ) à réussir leur transition énergétique avec stabilité des prix, sans profit à tout prix …

– facilitation des achats groupés et proposer des installateurs et des maîtres d’oeuvre : aide à établir l’appel d’offres, aide au choix des prestataires en fonction de critères stricts, : la mairie doit avoir le rôle de facilitateur. et donner l’exemple

– réhabilitation de l’habitat ancien ( 90% du parc ) et aide à la construction de bâtiments à énergie positive, équipement en ENR de tous les bâtiments de la Métropole, ombrières de parkings, efficacité énergétique et expansion des énergies renouvelables majeures ou mineures, avec :

– aide à la création de filières complètes de A à Z et locale ( Recherche et développement, fabrication de matériels avec PME, PMI, start-up, formation de professionnels de tous niveaux du CAP au doctorat ) : SOLAR VALLEY,

– création d’un Pole spécialisé centralisé et aussi en Mairies d’arrondissement ,

– aide à l’installation de microturbines ( eau potable et eaux usées ), microéoliennes … etc,

– développement de la production et de la récupération de biogaz, technique de méthanisation volontaire qui peut s’appliquer aux ordures ménagères brutes ou à leur fraction fermentescible  ( uniquement pour les décharges anciennes et les boues des stations d’épuration. ),,

– coopération avec Enercoop, Energie partagée … etc,

– aide à l’utilisation de la géothermie avec eau ou terre ( immeuble sur nappe pas trop basse ),

– récupération de la chaleur des eaux usées ( hôpital, gros immeubles, bâtiments utilisant eaux chaudes : restaurants, centre commerciaux …  ),

– récupération du bois ( bois d’oeuvre 50% de la souche et les autres 50% sont des déchets de bois ), palettes, bois de récupération, vieux meubles ( fabrication de granulés ou de pellettes pour bruler dans des chaudières ).

– aide à la diminution de la consommation et à la chasse au gaspillage.

3 Améliorer enfin la qualité de vie

Buts :

– participer à l’augmentation de l’espérance de vie en bonne santé qui a tendance à diminuer ( 62 ans environ ), assurer l’amélioration de la qualité de vie, recréer du lien social ( ex. fêtes de quartier ) et obtenir un bien vivre ensemble ( découverte des cultures voisines ou plus lointaines ), protéger notre environnement privilégié avec protection de la terre, de l’air, de l’eau et donc éviter sa marchandisation ,

– assurer le maintien de notre bonne santé globale par la reconnaissance des rapports étroits entre la santé et l’environnement : par exemple, Nice est une des villes les plus polluées d’Europe ( pollution de l’air – microparticules…) alors qu’elle n’a pas d’industrie polluante; lutter contre le CO2,

– limiter la pollution par les ondes électromagnétiques en imposant aux installateurs d’antennes pour les toits de la collectivité une moindre puissance,  et revoir la Charte de recommandations environnementales entre la mairie et les opérateurs,

– mettre en place entre eux et les riverains des instances de concertation avant chaque projet d’installation.

Moyens :

– reconnaissance de la santé de la population au rang de priorité dans toutes les décisions municipales ayant un impact sur la qualité de l’air

– promotion de la prévention primaire ( éviter l’apparition de maladies ) avec propositions et prises de décisions qui s’imposent

– suppression à terme les substances CMR ( cancérogènes, mutagènes, reprotoxiques ), les perturbateurs endocriniens, les microparticules pathogènes ( diesel, mazout, kérosène ), le dioxyde de carbone, les ondes électromagnétiques, les nuisances sonores, le dioxyde de carbone … etc,

– développement d’un autre regard sur l’animal et une autre pratique ( respect, civisme, places réservées, partage harmonieux de l’espace ).;

– le Maire et son équipe doivent promouvoir le civisme et le respect mutuel avec volonté d’apaiser et de réconcilier, et aide et conseils aux associations qui y travaillent.

Aller vers une politique des transports digne de la 5ème ville de France

Buts :

Diminuer le trafic des automobiles et des camions en ville,

– faciliter la diminution des trajets quotidiens intra-urbains en voiture,

-diminuer la forte pollution atmosphérique : Nice étant une des villes les plus polluées d’Europe alors qu’elle n’a pas d’industrie,

Moyens :

– gestion globale du plan de déplacement et de stationnement urbain et réaménagement de l’ensemble du système de transport,

– développement massif de transports non polluants ( personnes et marchandises ), collectifs et individuels et encouragement du télétravail,

– réfection de la voirie et des trottoirs après état des lieux complet dans chaque arrondissement,

– tram ligne 1 : tramway jusqu’à l’Ariane et La Trinité, comme il était prévu,

– ligne 2 d’Est en Ouest, à réaliser rapidement, et non souterraine, pour rattraper l’énorme retard ( rien ou presque en 6 ans : 4 fois moins de kilomètres qu’à Bordeaux, parti en même temps, donc tardivement, à population égale ); et arrivant à la gare de Riquier, et y raccorder un réseau de bus navettes collinaires avec grande fréquence et plus grande amplitude de service,

– développer ce qui peut améliorer les flux de circulation, le télé-travail, le covoiturage et l’auto-partage (qui permet de diminuer le nombre de voitures à garer dans Nice),

– révision globale du plan de transport collinaire par bus, à améliorer sérieusement, car pas fonctionnel du tout, en renforçant la fréquence des bus à certaines heures et en élargissant l’offre jusqu’au soir; ailleurs éviter des bus surchargés et trop espacés, mettre 2 tarifs expérimentaux ( bus, tram ) avec un « tarif résident autochtone » pour résidents pays Niçois et un « tarif général » pour les autres ( ou expérimentation de la gratuité pour les résidents ),

– utilisation systématique du train en intra-urbain ( fret et passagers ), y compris le train des Pignes avec doublement de la ligne ( gare du Sud plan du Var );

– création de nouveaux parkings relais ( bus, tram ),

– BHNS à installer (bus à haut niveau de service ) sorte de tram sur roues à coût nettement inférieur, électrique, pour certaines dessertes,

– véhicules de location électriques ou à air comprimé ( Peugeot-Dong Feng, Tata Motors ) encouragés avec énergie renouvelable par toits sur parkings et ailleurs ( ombrières ),

– navettes maritimes électriques ( passagers et fret ),

– parkings de dissuasion plus nombreux y compris pour prendre les bus ( agrémentés avec services : garde d’enfants … ),

– zone à 30km/h à de nouveaux endroits sensibles,

– pistes cyclables sécurisées, paysagées et en continuité, et zones à trente km/h complétée; se doter d’un système de parking à vélos sécurisé, et mettre en place un réseau de vélos bleus électriques à partir du bas des collines,

– grande gare d’autobus à rétablir,

– gratuité de l’autoroute de contournement à négocier pour les habitants du pays niçois,

– diminution des camions de fort tonnage en ville avec création d’une plate-forme de stationnement et de déchargement en périphérie avec véhicules utilitaires électriques en relais.

– centre ville réservé le plus possible aux résidents et découragement du stationnement des bus de tourisme dans la ville, comme cela se fait un peu partout (parc de stationnement à la périphérie proche d’une station de tram ou de bus de la ville).

Logement – Urbanisme : là aussi il y a beaucoup à réaliser

Buts :

créer un nouvel urbanisme écologique, respectueux de l’humain et de notre histoire pour tous, construire en hauteur par endroit,

entreprendre une politique foncière qui permette le développement :

– de l’habitat participatif, afin que des éco-habitats groupés se créent, permettant du lien et de la mixité (locaux d’activités artisanales ou culturelles, locaux associatifs, logements pour jeunes et retraités permettant la solidarité intergénérationnelle, chambres d’hôtes).

– des éco-quartiers  chaque fois que cela est possible.

Logement social : à revoir entièrement avec :

– réhabilitation de certains endroits abandonnés,

– suppression des « zones de non droit »,

– recréer des conditions de vie dignes partout,

– aide des locataires à l’acquisition …

Moyens :

– faire un bilan de l’existant,

– recréer un Consiglio d’Ornato afin de conserver et protéger notre patrimoine, la qualité de vie ( arcades, arbres pour protéger du soleil, toits et façades végétalisées … etc ) et l’attrait touristique,

– créer un Eco-quartier : Halle Spada, Abattoirs, futur grand hall d’exposition au-dessus de la gare Saint Roch …

– aménager le Paillon jusqu’au lycée de l’Est après large concertation citoyenne et concours paysager ( et pas couvrir ! ),

– Bâtiments HQE (haute qualité environnementale), Négawatt, ou à énergie positive quand c’est possible,

– facilitation de l’éco-habitat groupé et de l’auto-promotion afin de permettre aux habitants de s’approprier la conception ou la rénovation de leur habitat.

Logement social :

– faciliter l’accès à la propriété au bout d’un certain nombre d’années de paiement du loyer,

– mettre un représentant de la mairie dans chaque commission d’attribution,

– baisser des charges en supprimant les incivilités ( pédagogie, prévention, sanctions ),

– rénover les logements et remettre un gardien-médiateur,

– faire là aussi la rénovation thermique et participer à la transition énergétique,

– gratuité du chauffage urbain produit par l’incinérateur,

 6 Gestion des déchets : tout est à revoir

Locale, écologique et générant des emplois :

– aide à la forte diminution à la source ( inciter les grandes surfaces à minimiser les suremballages ),

– filières locales de recyclage ( ex. : filière papier et isolant avec fabrication locale ),

– suppression de l’incinérateur de l’Ariane à long terme,

– incitation à la pesée-embarquée

– composteurs municipaux répartis dans tous les quartiers,

– création d’une recyclerie pour réparer et revendre à petits prix les objets en bon état relatif amenés à la déchèterie;

 récupération du papier et fabrication locale de papier recyclé,

– mobilisation pour ouvrir un Centre de Valorisation Organique.

– gratuité pour les riverains de la déchèterie de l’Ariane.

– ânes pour tondre, cochons, poules pour recyclage

7 Biodiversité : préserver et recréer

Les études scientifiques le montrent : accroître la végétation urbaine améliore la qualité de l’air et protège de l’effet d’îlot de chaleur. Préserver des sols vivants et perméables est indispensable au cycle de l’eau et prévient les inondations. Restaurer les habitats de certaines espèces, comme les pollinisateurs sauvages, est aussi un moyen de se prévenir intelligemment des pathogènes.

Par contre, à Nice, cette biodiversité est en péril et les zones Natura 2000 sont peu respectées; Il faut donc protéger ce qui reste, voire la recréer partout ou cela est possible avec par exemple :

– des arboretums d’espèces plus ou moins en voie de disparition dans toute la ville mais aussi pédagogique et localisé dans la Cité des Sciences,

— utiliser certaines espèces de plantes adaptées pour dépolluer certaines zones,

– permettre l’installation systématique de jardins partagés dans tous les arrondissements …

8 Façade Maritime : à protéger et mettre en valeur

– faire respecter la loi littorale et la continuité des sentiers de bord de mer (chemins des douaniers);

– assurer la qualité de l’eau de mer ( Haliotis à surveiller …etc )

– imposer aux plagistes privés les obligations légales de non construction (ou de non-reconstruction pour les existantes qui ont été endommagées par les coups de mer) en dur sur la façade maritime de la ville de Nice; n’autoriser que les constructions saisonnières entièrement démontables, écologiques et intégrées avec un cahier des charges très précis;

– en faire un atout du tourisme vert.

Philosophie globale

Nice ainsi redynamisée, et apaisée va devenir la véritable ville « verte «  de la Méditerranée, une ville exemplaire où il fera bon vivre, travailler, agréable à visiter. Elle deviendra un phare de l’écologie appliquée, de l’innovation et du vivre ensemble qui pourra servir de laboratoire et essaimer. En respectant sa culture, ses racines et son histoire. Et tout cela se fera en collaboration avec le tissu économique, scolaire, universitaire, professionnel et associatif local et international.

Nice va aussi devenir une ville en transition. Pour cela, la participation citoyenne en est un élément fondamental, aux côtés de la volonté politique forte de notre équipe municipale future.

La transition en question est le passage « de la dépendance au pétrole à la résilience locale ». Les Niçoises et les Niçois sont invités à créer un avenir meilleur et moins vulnérable devant les crises écologiques, énergétiques et économiques qui nous menacent en agissant tout de suite pour :

– réduire la consommation d’énergies fossiles;

– reconstruire une économie locale vigoureuse et soutenable et retrouver un bon degré de résilience par la relocalisation de ce qui peut l’être;

– acquérir les qualifications qui deviendront nécessaires.

Nice va trouver par elle-même les actions qui lui conviennent en fonction de ses ressources et de ses enjeux. Il n’y a pas de réponse toute faite. Le modèle de Transition offre un cadre de travail cohérent mais non coercitif.

 Pourquoi agir localement ?

– parce que l’économie devra inévitablement se relocaliser en grande partie;

– parce que c’est le niveau auquel les citoyens peuvent inventer des solutions bien adaptées à leur réalité et passer à l’action;

– parce que c’est souvent localement que se trouvent les personnes, les ressources et les solidarités pour agir.

– et enfin parce que nous  avons le devoir aussi de penser aux générations futures ! « 

 

Inauguration de la Permanence de l’équipe Mentonnais Ensemble, liste sans étiquette, conduite par Pascale Gérard le 18 janvier à 18h

Inauguration Menton janvier 14

Et l’article de Nice Matin :

http://www.nicematin.com/menton/le-modem-mentonnais-rejoint-pascale-gerard.1556909.html

Une liste de large rassemblement qui verra donc les colistiers garder leurs étiquettes respectives dans la poche :

« C’est un choix que j’ai fait il y a six ans, au sortir des élections municipales. Bien avant que la gauche ne soit au pouvoir.

L’objectif est de rassembler les Mentonnaises et les Mentonnais, de choisir dans le camp républicain les compétences pour gérer Menton au-delà des étiquettes politiques.

Il y a tant à faire après le quart de siècle occupé par le maire sortant…» 

Pascale Gérard