Archives de catégorie : Vivre autrement !

« Loin des ambitions ministérielles, les écologistes agissent » tribune dans le JDD

http://www.lejdd.fr/Politique/Loin-des-ambitions-ministerielles-les-ecologistes-agissent-727324

TRIBUNE

« Loin des ambitions ministérielles, les écologistes agissent dans les villes, dans les régions, au parlement, pour l’intérêt des citoyens. Un texte notamment signé par les députées Eva Sas et Danielle Auroi, Thierry Brochot, président du Conseil fédéral, et Sandrine Rousseau, co-porte-parole nationale d’EELV.

Loin de la question qui occupe régulièrement les médias sur la participation ou non au gouvernement, des centaines d’élus écologistes agissent au quotidien. L’écologie réelle n’a rien à voir avec cette frénésie politicienne qui caricature et enferme les écologistes dans un débat qui n’est pas le leur. L’écologie réelle, ce sont des centaines d’actions concrètes pour lutter contre la pollution de l’air et de l’eau, pour isoler des milliers de logements et permettre aux familles de faire des économies d’énergie, pour améliorer les transports collectifs de nos concitoyens.

L’écologie réelle, c’est le plan de lutte contre la pollution de l’air à Paris, avec une aide financière à tous les professionnels qui abandonnent leur véhicule polluant pour un véhicule propre.

L’écologie réelle, c’est la fin de la publicité dans l’espace urbain à Grenoble.

L’écologie réelle, c’est une politique volontariste pour l’amélioration de la qualité l’eau en Pays de la Loire, avec plus de 1.800 opérations pour diminuer l’utilisation des pesticides dans les collectivités, restaurer les rivières et économiser les ressources en eau.

« L’écologie réelle, c’est un fonds de 10 millions d’euros pour les projets d’énergie renouvelable dans la région Rhône-Alpes »

L’écologie réelle, c’est le Pass Navigo Unique pour pouvoir se déplacer partout en Ile-de-France pour 70 euros par mois en transports collectifs, et la sortie du diesel des 9.000 bus franciliens, le plus grand réseau de France.

L’écologie réelle, c’est la carte ZOU! en région PACA qui offre à ses 170.000 détenteurs, la gratuité des transports collectifs pour les étudiants, 90% de réduction pour les personnes sans emploi et une tarification attractive pour tous afin de laisser sa voiture au garage.

L’écologie réelle, c’est l’isolation thermique de 60.000 logements en Nord-Pas-de-Calais et 20.000 emplois pérennes potentiels à terme grâce à ce programme.

L’écologie réelle, c’est un fonds de 10 millions d’euros pour les projets d’énergie renouvelable dans la région Rhône-Alpes et 15% d’économie sur les factures d’énergie de milliers de familles.

L’écologie réelle, c’est le soutien aux sept territoires ruraux d’Aquitaine engagés dans une démarche Territoires à Energie Positive, qui préparent leur autonomie énergétique et expérimentent une gestion locale de l’énergie.

L’écologie réelle, c’est, en Picardie et en Rhône-Alpes, la mise en place, pour la première fois en France, de politiques de santé environnementale régionales, pour améliorer la qualité de l’air intérieur et de l’alimentation, développer la chimie verte et sûre, et réduire des inégalités territoriales de santé.

L’écologie réelle ce sont trois régions qui lors du procès Erika, face au lobby pétrolier, s’associent et font reconnaitre, pour la mer, le préjudice écologique.

L’écologie réelle, c’est l’action des élus régionaux pour que la formation professionnelle bénéficie à ceux qui en ont le plus besoin et, en particulier, aux demandeurs d’emploi et aux personnes les moins qualifiées

L’écologie réelle, c’est faire émerger des emplois dans l’économie sociale et solidaire, les énergies renouvelables, l’aide aux personnes, etc.

«Nous travaillons chaque jour à refonder notre modèle de société autour de la transition écologique et de la solidarité»

L’écologie réelle, ce sont aussi des lois votées au Parlement comme le principe de précaution sur les ondes électromagnétiques ou la mise en place de nouveaux indicateurs de richesse pour mettre fin à l’hégémonie du PIB et repenser notre modèle de développement.

L’écologie réelle, c’est enfin et surtout le souci constant de tous les élus et militants écologistes de prendre soin de toutes celles et tous ceux qui se sentent abandonnés par les politiques publiques : chômeurs, personnes âgées, jeunes décrochés de l’école, petits artisans, commerçants et agriculteurs, habitants des territoires désertés par les services publics.

Les politiques menées jusqu’ici ont montré leur inefficacité face aux enjeux sociaux, économiques et environnementaux actuels. Cette impuissance à répondre aux attentes des citoyens est majoritairement la cause de la défiance des électeurs, qui se traduit par le niveau élevé de l’abstention et du vote protestataire.

Nous n’avons pas toutes les réponses face à la désespérance, mais nous travaillons chaque jour à refonder notre modèle de société autour de la transition écologique et de la solidarité qui seules peuvent répondre au chômage, aux difficultés des entreprises, à l’exclusion, comme au dérèglement climatique, à la pollution et à la perte de biodiversité qui compromettent l’avenir de nos enfants… Les manœuvres politiciennes ne peuvent qu’éloigner un peu plus les citoyens de leurs élus, au moment même où nous devons leur redonner confiance dans l’action publique. Le débat omniprésent sur la participation au gouvernement occulte la réalité de l’action des écologistes. Il est temps qu’enfin les obsessions ministérielles se taisent pour donner à voir ce qu’est réellement l’écologie : une action quotidienne et déterminée pour les citoyens et leur environnement. »

Signataires :

Danielle Auroi, députée, présidente de la commission Affaires Européenne
David Belliard, co-président du groupe écologiste à la mairie de Paris
Sophie Bringuy, vice-présidente de la région Pays de la Loire
Thierry Brochot, conseiller régional Picardie
Sophie Camard, co-présidente du groupe écologiste en région PACA
Emmanuel Cau, vice-président de la région Nord-Pas-de-Calais
Jean-Charles Kohlhaas, conseiller régional Rhône-Alpes
Lucille Lheureux, adjointe au maire de Grenoble
Monique de Marco, vice-présidente de la région Aquitaine
Philippe Meirieu, vice-président de la région Rhône-Alpes
Janick Moriceau, conseillère régionale de la région Bretagne
Christophe Najdovski, adjoint au maire de Paris
Jean-Yves Petit, vice-président de la Région PACA
Sandrine Rousseau, vice-présidente de la région Nord-Pas-de-Calais
Pierre Serne, vice-président de la Région Ile-de-France
Eva Sas, députée, vice-présidente de la commission des Finances
Mounir Satouri, président du groupe écologiste à la région Ile-De-France
Djamila Sonzogni, conseillère régionale Alsace
François Veillerette, vice-président de la région Picardie

Shell, GDF Suez et Samsung remportent les Prix Pinocchio 2014 !

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« Après le lancement du vote public le 9 octobre dernier, Les Amis de la Terre, en partenariat avec Peuples Solidaires – ActionAid France et le Centre de Recherche et d’Information pour le Développement (CRID), ont mis fin au suspense lors de la cérémonie de remise des Prix Pinocchio ce soir à La Java (Paris) et ont annoncé les grands vainqueurs de l’édition 2014 : Shell, GDF Suez et Samsung (1).

Cette année, un nouveau record de participation a été atteint : plus de 61 000 votes au total, témoignant de l’indignation croissante des citoyens face aux graves impacts sociaux et environnementaux des activités de multinationales.

Lauréats Pinocchio 2014

Voir les photos (© Alexandre Devos) et la vidéo (par AlterJT) de la cérémonie de remise des Prix.

Shell remporte haut la main le Prix Pinocchio dans la catégorie « Une pour tous, tout pour moi » (2) avec 43 % des votes, pour la multiplication de ses projets de gaz de schiste dans le monde entier, sauf aux Pays-Bas, son pays d’origine, soumis à un moratoire. Alors que cette multinationale, comme les autres grandes compagnies pétrolières, se targue de mener ses opérations en respectant des « principes ambitieux », la réalité constatée sur le terrain, notamment en Argentine et en Ukraine, est bien différente : absence de consultation des populations, puits dans une aire naturelle protégée et sur des terres agricoles, réservoirs d’eaux de forage toxiques à l’air libre, opacité financière, etc.

Dans la catégorie « Plus vert que vert » (3), GDF Suez reçoit le Prix Pinocchio avec 42 % des votes, pour ses « obligations vertes ». Au mois de mai dernier, ce géant énergétique français avait annoncé fièrement avoir émis la plus importante « obligation verte » jamais réalisée par une entreprise privée, récoltant 2,5 milliards d’euros auprès d’investisseurs privés pour financer soi-disant des projets énergétiques propres. Mais quand on y regarde de plus près, aucun critère social et environnemental clair n’est associé à ces obligations « vertes », et l’entreprise n’a pas publié la liste des projets financés. Elle pourrait même utiliser cet argent pour des projets destructeurs tels que des grands barrages, comme celui de Jirau (Brésil) qu’elle a cité en exemple, et continue par ailleurs à investir lourdement dans les énergies fossiles.

Enfin, avec 40 % des votes, le Prix Pinocchio de la catégorie « Mains sales, poches pleines » (4) a été décerné à Samsung, pour les conditions de travail indignes dans les usines qui fabriquent ses produits en Chine : heures de travail excessives, salaires de misère, travail des enfants, etc. Malgré des enquêtes et interpellations répétées de la société civile, et le dépôt d’une plainte en France, ce leader de la high tech s’entête à nier ces accusations. L’entreprise devrait affronter la réalité et mettre en œuvre des mesures concrètes pour améliorer les conditions de travail des ouvriers et ouvrières chinoises, et mettre fin à ces violations de droits.

Dénonçant de nombreuses violations des droits des peuples et de l’environnement, les Prix Pinocchio ont gagné en importance depuis leur création en 2008, et contribuent à faire pression sur les entreprises pour qu’elles changent leurs pratiques. L’ampleur de l’événement et son rôle dans le débat public autour de la RSEE a cette année contraint l’ensemble des entreprises nominées à s’expliquer publiquement sur les faits dénoncés (5).

Juliette Renaud, chargée de campagne sur la Responsabilité sociale et environnementale des entreprises aux Amis de la Terre, commente : « Il y a un an tout juste nous nous félicitions du dépôt d’une proposition de loi sur le devoir de vigilance des multinationales, mais les pressions des lobbies maintiennent le gouvernement dans l’inaction, et cette loi n’a toujours pas été votée, ni même discutée au Parlement (6). En opposant des faits concrets aux beaux discours des entreprises, les Prix Pinocchio montrent cette année encore que ces vides juridiques permettent aux entreprises d’agir en toute impunité en France et dans le monde ».

Pour Fanny Gallois, responsable des campagnes à Peuples Solidaires-ActionAid France, « Partout dans le monde, des femmes et des hommes se mobilisent pour faire valoir leurs droits et obtenir des conditions de vie et de travail dignes. En dénonçant les abus des multinationales, les Prix Pinocchio se font l’écho de ces luttes et en appellent à la responsabilité de nos gouvernants : il est temps de tenir les multinationales responsables de leurs impacts négatifs ».

Selon Pascale Quivy, déléguée générale du CRID : « D’année en année, les citoyens de notre pays et d’ailleurs sont plus nombreux à participer au vote des prix Pinocchio. Nos décideurs politiques et économiques devraient en tenir compte, les premiers en édictant des règles contraignantes pour les entreprises en matière de responsabilité sociale, environnementale et fiscale, les seconds en mettant tout en œuvre pour les appliquer, tant sur le territoire français que dans leurs investissements à l’étranger ».

Les Prix Pinocchio sont organisés en partenariat média avec Basta !, l’Observatoire des Multinationales et la Radio Monde Réel, qui ont publié des articles d’éclairage et des interviews sur chacun des nominés (7).

Contacts presse :
• Caroline Prak, Les Amis de la Terre France – 06 86 41 53 43 / 09 72 43 92 65 – caroline.prak@amisdelaterre.org
• Fanny Gallois, Peuples Solidaires-ActionAid France – 01 48 58 21 85 / 06 19 89 53 07
• Pascale Quivy, CRID – 01 44 72 89 76 / 06 15 44 13 44 – p.quivy@crid.asso.fr

Notes :
(1) Au total, neuf entreprises étaient nominées. La description de chacun des cas dénoncés en 2014 est disponible ici.

(2) « Une pour tous, tout pour moi ! » : prix décerné à l’entreprise ayant mené la politique la plus agressive en terme d’appropriation, de surexploitation ou de destruction des ressources naturelles.
Les deux autres nominés étaient Total et le Crédit Agricole.

(3) « Plus vert que vert » : prix décerné à l’entreprise ayant mené la campagne de communication la plus abusive et trompeuse au regard de ses activités réelles.
Les deux autres nominés étaient EDF et Pur Projet.

(4) « Mains sales, poches pleines » : prix décerné à l’entreprise ayant mené la politique la plus opaque au niveau financier (corruption, évasion fiscale, etc.), en termes de lobbying, ou dans sa chaîne d’approvisionnement.
Les deux autres nominés étaient Perenco et Lyon Turin Ferroviaire.

(5) EDF, GDF Suez, Total, Lyon Turin Ferroviaire, Crédit Agricole et Pur Projet ont répondu directement aux Amis de la Terre, tandis que Perenco, Shell et Samsung ont réagi au travers du Business and Human Rights Resource Center. Les échanges entre les entreprises et les organisations porteuses des cas sont disponibles ici.

(6) Cette proposition de loi relative au devoir de vigilance des sociétés mères et des entreprises donneuses d’ordre, a été déposée par quatre groupes parlementaires et est soutenue par cinq centrales syndicales.
Texte de la proposition de loi.

(7) Ces articles et interviews sont disponibles ici :

http://www.prix-pinocchio.org

Vague Verte du 28 novembre 2014 à Nice ave EELV !

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Distribution assurée de notre vague verte ce matin gare Riquier, à plusieurs !

‪#‎VagueVerte‬ ‪#‎EELV‬

À un an de la décisive 21ème conférence-climat (Paris décembre 2015), les écologistes se mobilisent et organisent l’opération “Vague verte“ qui déferlera dans la France entière, au cœur de nos territoires (gares, marchés, stations de métro..) le vendredi 28 novembre.

Il s’agira, à travers la distribution d’un journal gratuit “Ecolonews“ -dont le titre “L’année sera chaude“ résume l’urgence climatique- d’éveiller les consciences et d’impulser le sursaut citoyen et démocratique indispensable à la réussite de Paris 2015 et capital pour gagner la bataille climatique.

Hausse record des concentrations de gaz à effet de serre en 2013, déclin de la biodiversité, explosion du nombre de réfugiés climatiques, rapports de plus en plus alarmants de la communauté scientifique : il est plus que temps de (ré) agir et la conférence-climat de Paris -au succès impératif- doit aboutir à un accord ambitieux de réduction des gaz à effet de serre afin de limiter la hausse des températures à 2 degrés.

Le Court Circuit Café 4 rue Vernier à Nice près de l’avenue Malausséna

FLYER CCC FINAL 2 rectoLe Court Circuit Café est un lieu associatif inscrit dans la Transition, une alternative à la société qui nous consomme avec le souci de permettre, au plus grand nombre, d’avoir accès au « mieux vivre » tout en respectant l’humain et l’environnement.

Le Court Circuit Café est un lieu d’échange, où l’on se réunit pour défaire et refaire le monde. Tous les moyens sont bons pour rassembler et retisser des liens entre les gens.

Restaurant bio, local, équitable.

Lieu de débat, de rencontre avec de nombreuses programmations le soir.

Lieu d’activité culturelle, musicale, alternative … etc l’après-midi et le soir.

Lieu de vie de l’Economie Sociale et Solidaire à Nice.

http://www.courtcircuitcafe.org

« La vague Alternatiba s’amplifie » communiqué de presse … Changeons le système, pas le climat !

Pièce jointe

 » Bayonne en octobre 2013, Agen, Gonesse, Nantes, Paris, Lille, Ciboure-Socoa et Bordeaux en septembre et octobre 2014 : 62 000 personnes ont déjà visité les Villages des alternatives au changement climatique « Alternatiba ».

Près de 1700 bénévoles ont participé à la préparation et à la mise en place de ces 8 premiers Alternatiba auxquels il faut rajouter les milliers d’exposants, intervenants, artistes qui les ont animés. Entre dix et vingt mille personnes ont assisté à leurs conférences et tables rondes sur le dérèglement climatique, sur la COP21, sur les fausses solutions, sur les alternatives et démarches de transition sociale et écologique permettant de « construire un monde meilleur en relevant le défi climatique » comme le résumait la formule de Stéphane Hessel, qui avait accepté de parrainer ce processus Alternatiba.
Déjà 46 Alternatiba au total :
Alternatiba permet aux citoyens de prendre confiance en leur capacité collective de changer les choses, de participer ici et maintenant aux transitions nécessaires pour transformer nos modes de production, de consommation, de transports, d’aménagement du territoire, etc. Bref, de changer de système pour ne pas changer de climat.
La vague Alternatiba s’amplifie donc et va continuer tout au long de l’année 2015, contribuant à la montée en puissance de la mobilisation citoyenne dans la perspective de la COP21, l’important sommet Onusien sur le climat qui se tiendra à Paris fin 2015. 38 autres Alternatiba sont en effet d’ores et déjà en cours de préparation en France, mais également dans plusieurs pays Européens. Presque chaque semaine, un nouvel Alternatiba vient allonger encore cette liste.

Coordination européenne des Alternatiba à Lille
La 4ème Coordination européenne des Alternatiba se réunira à Lille le samedi 25 octobre 2014. Elle analysera les premiers retours d’expérience, mettra en place des temps de formation, travaillera à une promotion massive des alternatives que chacun-e peut renforcer à son niveau, débattra des stratégies de mobilisation citoyenne face à la COP21.
Elle travaillera également sur une grande campagne de communication et de mobilisation citoyenne sur le climat et les alternatives écologiques et sociales, qui sera lancée le 3 décembre 2014 et durera 2 mois.
C’est maintenant qu’il faut agir !
La Coordination Européenne des Alternatiba appelle la population, et en particulier les jeunes générations, à renforcer cette dynamique massive des Alternatiba visant à enclencher sans plus tarder la transition sociale et écologique, seule capable d’empêcher le chaos climatique.

Changeons le système, pas le climat !

Ensemble, construisons un monde meilleur en relevant le défi climatique ! »

La Coordination européenne des Alternatiba,

Communiqué de presse

Marche mondiale pour le climat : à Nice dimanche 21 septembre 2014 à 14h pointe Rauba Capeu

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« Nous avons franchi un point de non-retour: l’équilibre de notre climat a été complètement bouleversé, menaçant même la vie sur Terre…

C’est pourquoi, dimanche 21 septembre, 2 jours avant un sommet crucial de l’ONU sur le climat, les citoyens qui s’inquiètent du changement climatique prendront part à la Marche mondiale pour le climat. »

https://www.facebook.com/events/1476414925977317/?ref=notif&notif_t=plan_user_invited

 » Le samedi 27 septembre, c’est la Journée nationale de la Transition citoyenne  » Communiqué de presse

Flyer_JourneeTransitionCitoyenneNice_270914_web« Par et pour tou.te.s les citoyen.ne.s qui veulent reprendre en main leur présent et leur avenir Elle prendra la forme d’un évènement festif grand public de partage d’idées et de pratiques de la Transition citoyenne
Atelier-débats, projections-rencontres, stands, concerts, etcA Nice, événement conjointement élaboré par – le collectif du Forum Social Départemental 06 – le collectif Transition 06La Transition, un mouvement citoyen utilisant d’autres pratiques économiques et sociales pour un monde vivant et solidaireSe fournir en fruits et légumes dans l’AMAP du quartier, changer de fournisseur d’électricité et s’abonner à Enercoop, intégrer une coopérative d’habitants, faire ses courses dans un magasin bio spécialisé, changer de banque et placer son épargne à La Nef, participer à une ressourcerie, à une crèche parentale, à un atelier de vélo solidaire, créer un jardin partagé et installer un composteur, utiliser une monnaie alternative, etc.

Agriculture, alimentation, arts et culture, démocratie, économie, éducation, énergie, habitat, transport, etc. Dans tous les domaines, la Transition citoyenne engage le changement par des actions individuelles, collectives et coopératives, concrètes au quotidien, qui montrent qu’une alternative durable est possible, voire déjà existante.

Des milliers de citoyen.ne.s ont déjà choisi et œuvrent chaque jour à une profonde transition sociale, écologique et économique de la société. Nous sommes les artisans de la Transition. Sans attendre un hypothétique changement « venu d’en haut », nous oeuvrons à la Transition, nous incarnons le changement ici et maintenant, individuellement et collectivement.

Face à la crise systémique, à laquelle notre monde est confronté, il nous faut inventer un monde plus soutenable et humain, une société nourrie par des valeurs de solidarité, de coopération et de respect des écosystèmes. C’est un autre monde qu’il nous faut !

Le 27 septembre, une journée nationale pour rendre visible et amplifier ce mouvement citoyen capable de transformer notre vieux monde crise en un autre monde solidaire et durable

Partout en France, des initiatives auront lieu le 27 septembre pour rendre visible et amplifier ce mouvement citoyen, avec pour lignes d’action communes :

– porter collectivement à la connaissance du grand public les valeurs et les pratiques de l’ESSE (Économie Sociale, Solidaire et Écologique)
– proposer des actions concrètes concernant la démocratie participative, la finance solidaire, l’énergie, le foncier agricole, etc.

– rassembler nos compétences, nos ressources, nos réseaux afin d’optimiser l’impact de nos actions individuelles et collectives
– réinventer nos façons de produire, d’échanger, d’habiter, de nous nourrir, de nous déplacer, d’éduquer, etc.

Dans les Alpes-Maritimes, plusieurs événements grand public seront organisés à Antibes, Villars-sur-Var et Nice.

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A Nice, une journée pour rendre le changement désirable, partager les bonnes pratiques et valoriser les initiatives locales

La Journée nationale de la Transition citoyenne à Nice aura lieu dans le quartier Vernier, autour du Court Circuit café (4 rue Vernier).

Au programme, des atelier-débats, projections-rencontres, stands sur les thématiques suivantes :

– Préservation des terres agricoles en PACA / Agricultures alternatives – Transition Énergétique, des solutions concrètes
Le scénario Greenpeace pour la Transition
Énercoop et Énergie partagée

– Démocratie participative, Votation citoyenne, Café laïque,
Vigilance citoyenne en milieu de travail
– Éducation émancipatrice, projection-débat autour du film « Un autre chemin pour l’école » – Transition dans les Arts et la Culture, table-ronde avec des acteurs locaux
– Habitat participatif écologique, projection-débat autour du film « Sous d’autres toits »
– Transition Économique et Financière
Pour de nouvelles relations économiques internationales ;
Économie collaborative, économie du partage ;
La Nef, banque éthique pour une finance solidaire.

L’organisation de la Journée de la Transition citoyenne à Nice est portée par : Association Transition Alpes- Maritimes, Forum Social Départemental 06 (FSD06) – Association pour une Europe Sociale et Solidaire (AESS), Artisans du Monde, Association des Libres Penseurs Alpes-Maritimes (Alpam), Attac 06, Cgt 06, Court Circuit café, Emancipation, Ecohabitons06, Mrap, Greenpeace Nice, Enercoop, La Nef, OuiShare Nice, Terre de liens, Planning Familial.

Ces 16 mouvements citoyens moteurs dans de nombreux domaines d’activité (alimentation, éducation, énergie, finance, économie, bien-être social, démocratie, accompagnement du changement, etc.) ont décidé de se regrouper afin de créer un événement grand public pour partager et diffuser les idées et pratiques de la Transition citoyenne.

On notera cette spécificité niçoise : la forte présence des acteurs du Forum Social Départemental 06. La convergence des luttes et des cultures politiques est positive. Cette synergie entre les mouvements permet de renforcer la visibilité des dynamiques locales.

N’attendons pas le changement. Incarnons le changement, oeuvrons à la Transition, ici et maintenant, individuellement et collectivement.  »

Le samedi 20 septembre : participez au Jour de la Nuit 2014 !

http://www.jourdelanuit.fr

 » Le Jour de la Nuit est un évènement national de sensibilisation à la pollution lumineuse et à la protection de la biodiversité nocturne et du ciel étoilé, initié par Agir pour l’Environnement et soutenu par de nombreux partenaires*.

Cette année, plus de 200 évènements sont déjà programmés partout en France :

  • Sortie nature,
  • randonnée nocturne,
  • soirée conte,
  • extinction de certains monuments et de l’éclairage public,
  • observation des étoiles,
  • conférence/débat…
Comme chaque année, et cela depuis six ans, le Jour de la Nuit a pour vocation d’informer et surtout desensibiliser les citoyens aux enjeux de la pollution lumineuse et des économies d’énergie, en les invitant à participer à des animations et des manifestations locales.Depuis le début de cette aventure, Agir pour l’Environnement a contribué, avec les associations et institutions partenaires, à éveiller l’attention et organiser un temps de redécouverte d’une dimension (le ciel étoilé) que nous avions tendance à ne plus percevoir.★ Découvrez la carte de France des animations ! 

Pourquoi le Jour de la nuit ?

  • Parce que regarder la nuit, c’est avoir des étoiles plein les yeux ;
  • Parce qu’écouter la nuit, c’est entendre les 1000 et une merveilles que nous offre la biodiversité nocturne ;
  • Parce que ressentir la nuit, c’est redécouvrir une quatrième dimension que le siècle des luminères a fait disparaître ;
En dix ans, le nombre de points lumineux a augmenté de 30 % en France et s’élève à plus de 9 millions.Cette pollution lumineuse entraîne :

  • un gaspillage d’énergie important ;
  • un trouble des écosystèmes ;
  • la disparition du ciel étoilé.
Il est nécessaire de revenir vers une utilisation plus raisonnée de l’énergie et réduire l’éclairage artificiel.Parce que la nuit est une source d’émerveillement, le samedi 20 septembre prochain, participez toutes et tous à la sixième édition du Jour de la Nuit !
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Demandez une extinction des lumières dans votre commune !

Jusqu’au 20 semptembre, il est encore temps de demander à votre commune d’éteindre son éclairage public via ce modèle de lettre type : Comme nous, imaginez votre commune sans lumière !

★ Ne doutez jamais qu’un petit groupe de gens réfléchis et engagés puisse changer le monde. En fait, c’est toujours comme cela que ça s’est passé.★ – Margaret Mead (1901 – 1978) – Anthropologue. 

StéphenMartinMickaël, Julie et toute l’équipe d’Agir pour l’Environnement.  »

contact@agirpourlenvironnement.org

http://www.agirpourlenvironnement.org
http://www.facebook.com/association.agirpourlenvironnement
http://www.twitter.com/APEnvironnement

Des retraités votent FN en France, d’autres vont passer une retraite belle et heureuse au Maroc, en Malaisie, au Sénégal, en Indonésie, Tunisie, Turquie … qui est fada ??

A lire en entier dans

http://www.retraite-etranger.fr

Partir vivre à l’étranger : un rêve réalisable


 » Fermez les yeux et imaginez une plage de sable blanc et la mer bleu turquoise juste devant votre terrasse ; le soleil, un ciel bleu et les palmiers ondulants sous la brise…

Si cette idée vous séduit, parcourez les pages de notre site,

Choisissez votre destination future parmi les 23 pays les plus appréciés des retraités français expatriés, … « 

Pourquoi partir en retraite en Turquie

« Dix mille ans d’histoire.

La Turquie est le carrefour de civilisations fascinantes. Elle offre d’infinis trésors historiques qui vont des ruines préhistoriques, en passant par les multiples sites hellénistiques, romains, sans négliger les bâtisseurs seldjoukides qui ont abandonné, partout en Turquie, caravansérails, ponts et mosquées ou les Ottomans et leurs merveilles : fontaines, mosquées, hammams…

L’histoire superpose ces strates et s’enrichit pour parvenir à une Turquie contemporaine et moderne : captivante !

Une hospitalité exceptionnelle.

L’hospitalité est une des bases du mode de vie turc. En Turquie, l’étranger est un « misafir », un convive, un hôte. Le seul malaise que pourra éprouver le retraité étranger sera de ne pouvoir décliner ce qui lui est si aimablement offert. Accepter le café, le thé ou le fruit, sera le meilleur des remerciements. Même dans les villages, il se trouvera toujours quelqu’un nanti de quelques rudiments d’une langue étrangère et qui, avec beaucoup d’ardeur, s’improvisera traducteur afin de venir en aide à l’étranger curieux de se faire comprendre.

Une grande diversité de paysages

Entre eaux de rêves (7000km de côtes bordent le pays), campagnes arides ou très vertes, montagnes, lacs ou richesses naturelles (la Cappadoce, Pamukkale ou la baie d’Ölüdeniz), ce pays offre une diversité de paysages grandioses et inattendus.

 Une cuisine au mélange d’influences

… »

Pourquoi partir en retraite en Indonésie

« Bali, ce petit eldorado concentre tous les éléments nécessaires à une expatriation réussie. De belles plages, des reliefs volcaniques majestueux couverts de forêts, des collines sculptées de rizières en terrasse dont les courbes font danser la lumière, une culture éveillée et authentique et surtout, une population d’une surprenante gentillesse. Etincelant aussi, cet attrait des Balinais pour les arts et l’harmonie.

Un paradis terrestre

Destination de rêve depuis toujours, Bali « l’île des dieux » reste un coin de paradis terrestre qui attire de plus en plus de retraités occidentaux. Il faut reconnaitre qu’ici Dame Nature a donné ce qu’elle a de mieux: des volcans impressionnants, des collines verdoyantes sculptées par des rizières en terrasse, de longues plages de sable blanc bordées de palmiers, des eaux limpides, chaudes et calmes, des fonds marins de toute beauté et une grande variété de fruits exotiques aux saveurs nouvelles.

Une douceur de vivre

Ce qui fait le charme de cette île ce ne sont pas seulement ses paysages idylliques mais surtout sa population. Les Balinais sont d’une gentillesse légendaire et d’une douceur de vivre de tous les instants. Leur vie quotidienne est rythmée par les cérémonies religieuses hautes en couleurs, célébrées à l’occasion d’évènements familiaux ou villageois. C’est alors souvent l’occasion d’admirer des danseuses à la grâce infinie, évoluant aux sons d’une musique ancestrale. Une culture vivante, authentique et complexe, qui reste intacte malgré le nombre croissant d’étrangers venant apprécier la magie de Bali.

..  »

Pourquoi partir en retraite au Maroc

 » Tous les ans, de nombreux retraités français traversent la Méditerranée pour s’installer au Maroc. Les projets immobiliers de résidences pour les retraités au Maroc connaissent un essor considérable. De plus en plus de seniors français s’y font construire la résidence de leurs rêves.

A quelques encablures de l’Europe, bordé par l’Atlantique et la Méditerranée, surmonté par la chaîne de l’Atlas et rattrapé par le désert, le Maroc est un pays aux paysages et reliefs variés. C’est aussi une âme, celle d’un peuple accueillant qui met un point d’honneur à bien recevoir son hôte. C’est enfin un dépaysement absolu dans les souks et ruelles des fabuleuses cités impériales qui s’animent autour de la médina, au fur et à mesure que la chaleur se fait moins pesante.

Un patchwork de paysages

L’extraordinaire variété des paysages rencontrés enchantera les plus difficiles. La façade méditerranéenne et la région du Rif possèdent de magnifiques canyons et de vallées verdoyantes. Le Moyen Atlas est un savant assemblage de causses et de sommets. La côte atlantique est un cortège de falaises de grés ou de calcaires et de plages de sable étendues. Le Sud marocain combine vallées, gorges et désert.

 Une culture à cheval entre l’Orient et l’Occident

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Pourquoi partir en retraite au Sénégal

 » Magique et mythique, le Sénégal, vous offre tous les atouts pour un dépaysement total. Sa douceur de vivre, la beauté de ses sites, sa culture, son artisanat typique et varié font de la destination un havre de paix.

Le Sénégal a une réputation légendaire de civilisation du donner et recevoir.

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La douceur du climat

Les pluies sont rares sur la Grande Côte, littoral s’étendant de Dakar à Saint-Louis, et lorsqu’il pleut, le sol est sec dès que le soleil revient. On peut donc profiter du Sénégal toute l’année, selon ce que l’on vient y chercher.

Une faune et une flore riches

Une faune et une flore riches

La découverte d’une flore et surtout d’une faune, dans les parcs nationaux, parmi les plus riches d’Afrique de l’Ouest.

Le Sénégal est pour beaucoup une association de plages et de farniente. Les plages longent la Grande Côte et la Petite Côte, puis la Casamance. On apprend facilement à prendre le temps de vivre.

Une hospitalité authentique

L’authenticité de l’hospitalité des Sénégalais, pour peu que l’on se donne la peine de sortir des circuits traditionnels, ne laissera personne indifférent. Ce côté festifjovial, caractéristique d’un certain état d’esprit que certains Occidentaux ont tendance à oublier, mais qu’ici, l’on sait bien entretenir.

Une cuisine marine

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Pourquoi partir en retraite en Malaisie ?

« La Malaisie est une terre aux multiples visages. A Kuala Lumpur, le contraste architectural et culturel est étonnant : des grattes-ciels aux bâtiments coloniaux, des buildings modernes aux mosquées et temples hindouistes, le passé et l’avenir se côtoient. Dans l’intérieur du pays, les forêts regorgent d’espèces végétales et animales, tandis que les côtes et les îles proposent des plages et fonds marins qui figurent parmi les plus beaux du monde. Quant à ses habitants, véritable patchwork de peuples et de cultures, ils vous étonneront par leur largeur d’esprit et leur accueil chaleureux.

Une culture riche et variée

Cette diversité s’explique par les colonisations successives des Portugais, des Hollandais et des Anglais, et par une grande diversité ethnique. L’architecture est influencée par cette pluralité, de même que la grande variété des édifices religieux, taoïstes, bouddhistes, hindous, et catholiques. On observera également une différence entre la côte Ouest plus moderne et la côte Est plus traditionaliste.

Des plages et des îles de rêve

La Malaisie est réputée pour la beauté de ses plages. Celles de la côte Est sont baignées d’une eau turquoise transparente, et ses récifs coralliens associés à une faune et une flore sous-marine unique au monde en font d’excellentes destinations plongée. Ce sont aussi des endroits parfaits pour le farniente, sur des plages d’un sable blanc farineux ombragées de cocotiers majestueux.

Une cuisine colorée et épicée

Amateurs de cuisines exotiques seront comblés. Pas une ville qui ne voit en fin de journée s’installer une multitude de stands de nourriture où l’on vient se restaurer au gré de ses envies. Nourriture chinoise, malaise, indienne et indonésienne sont bien représentées et permettent de goûter aux plats délicieusesment épicés de l’Asie entière. Quant aux inconditionnels de la nourriture occidentale, pas d’inquiétude, on la retrouve dans de nombreux restaurants servant une cuisine internationale.

Une population chaleureuse

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Pourquoi partir en retraite en Tunisie

Les clichés d’Orient ne cessent d’hanter nos rêves et notre imaginaire. En Tunisie, ces images deviennent réalité. Des souks colorés et animés dans ces dédales de ruelles où il fait bon s’égarer, des ânes paresseux, l’appel du muezzin du haut des minarets, des dunes de sables infinies… Autant de couleurs, de bruits, de sensations et de parfums dont on ne se lasse pas…

De ses plages de sable au désert mystique, de ses vergers luxuriants à ses vestiges chargés d’histoire, la Tunisie vous accueille et vous révèle ses secrets. C’est sur ce petit morceau de terre qu’Ulysse fit une étape, que Didon créa Carthage, causant ainsi la jalousie et la colère de Rome… La Tunisie est une destination tranquille, alors installez-vous avec délice dans ce pays des Mille et Une Nuits.

La richesse culturelle

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Tous les mardis à 19h le Court-Circuit Café paie sa tournée de crêpes & galettes bio 4 rue Vernier à Nice

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« Ce soir, ramène ton oeuf et ta meuf, ta pomme et ton homme, arômes et mômes et fais ta galette ; )

https://www.facebook.com/events/770258616326123/ »

TOUS LES MARDIS à 19h, le Court-Circuit Café paie sa tournée de crêpes & galettes bio.
Pour compléter, ramener sa garniture sucré/salé ! (Il reste un énorme pot de miel bio de la dernière fois ! ; )

Un moment convivial en début de semaine où chacun peut venir avec ses clics et ses clacs pour rendre l’heure de l’apéro ludique, joyeuse, musicale et gourmande : ) « 

 » Plastiques à partir de plantes: fiction ou réalité ?  » mercredi 2 avril 2014 à 19h30 au Court Circuit Café par Patrick Navard Directeur de Recherche au CNRS

Plastiques à partir de plantes: fiction ou réalité?

mercredi 2 avril 2014 à 19:30
« La conférence « Les plastiques à partir de plantes: fiction ou réalité? » que Patrick Navard présentera sera accessible à un large public adulte ou enfant (à partir de 10 ans) et concernera les questions suivantes :Qu’est-ce que le plastique ?
Peut-on fabriquer du plastique à partir de plantes ?
Est-il alors écologique ?
Les plastiques issus du pétrole sont-ils si différents ? Les plastiques à base de plantes sont-ils biodégradables ?
Les chaussettes en bambou sont-elles bonnes pour l’environnement ?
Quels sont les avantages et les risques de ces plastiques?Patrick Navard (Directeur de Recherche au CNRS, Centre de Mise en Forme des Matériaux, Ecole des Mines de Paris/CNRS à Sophia Antipolis, Alpes Maritimes) est ingénieur INSA en Physique des Matériaux, possède un DEA de biologie de l’université de Lyon et est docteur ès sciences. C’est un spécialiste des polymères (matières plastiques) et plus précisément de leur mise en forme. Il travaille sur les polymères issus de plantes depuis de nombreuses années. Il coordonne le réseau de recherche européen sur les polysaccharides (polymères comme la cellulose ou l’amidon), animant le travail de seize équipes de recherche de neuf pays différents. « 

Les bouffes-projections de La ManuFabriK : film « Ne vivons plus comme des esclaves » du Grec Yannis Youlountas vendredi 14 mars 2014 à 20h

Les bouffes-projections de La ManuFabriK
Le vendredi 14 mars 2014 à 20h  

– Cantine à Prix Libre

(avec des bons produits du coin)

– Projection du documentaire

Ne vivons plus comme des esclaves de Yannis Youlountas

Local des Diables Bleus 29 route de Turin – Nice

Prix libre

 A l’heure où l’économie solidaire s’installe de plus en plus, 2013, en Grèce, des expériences naissent pour s’affranchir de la dictature monétaire. Ces alternatives expérimentent immédiatement une autre façon de vivre qui réinterroge notre rapport à l’argent.

Nombre de places limitées, merci de réserver sur contact@lamanufabrik.net  »

www.lamanufabrik.net