Eau de boisson : là aussi, risque de toxicité, comme pour le reste de notre environnement et de nos aliments

((/images/Eau de boisson WWF.jpg)) Ce problème de qualité de l’eau de boisson, en bouteille ou sortie du robinet, nous concerne tous. L’eau étant un élément vital indispensable à la vie humaine et animale. De plus, la toxicité potentielle de l’eau ingérée rejaiilit directement sur notre santé et indirectement après l’atteinte de la qualité de notre chaîne alimentaire à travers les molécules toxiques ajoutées à cause de pollution diverses et variées. Même ceux qui sont végétariens sont touchés puisque l’eau est aussi indispensable pour le développement de nos fruits et légumes nourriciers ! Voici donc un document à lire avec attention. A lire en entier sur le site du __[|http://www.wwf.fr/s-informer/actualites/eau-de-boisson-encore-trop-de-polluants-dangereux-dans-l-eau-du-robinet-et-l-eau-en-bouteille-!|fr]WWF__ EAU DE BOISSON : ENCORE TROP DE POLLUANTS DANGEREUX DANS L’EAU DU ROBINET ET L’EAU EN BOUTEILLE !  » En dépit de la publication d’innombrables rapports officiels, la controverse sur les qualités respectives de l’eau du robinet et des eaux embouteillées n’a cessé de s’envenimer ces dernières années en France. Qui croire ? Notre santé est-elle menacée ? Le WWF France passe au crible un échantillon d’eaux de boisson La polémique sur la qualité, et les risques potentiels pour la santé, de l’eau du robinet est en passe aujourd’hui de devenir un débat mondial, un enjeu commercial, environnemental, et une question majeure de santé publique. Le WWF France est régulièrement interpellé sur cette question depuis plusieurs années. Il a pris la décision, à la demande de son Conseil scientifique, de faire effectuer des analyses d’eau du robinet et d’eau en bouteille. Sachant que le débat est biaisé puisque les réglementations qui définissent les critères de qualité sanitaire pour l’eau du robinet, les eaux de source et les eaux minérales sont différentes ! Cette campagne de prélèvements a été réalisée dans une cinquantaine de villes et communes rurales ainsi que sur une quinzaine d’eaux embouteillées, selon un protocole strict. Les analyses ont été effectuées par un laboratoire de référence agréé par le Ministère de la Santé. Plusieurs types de polluants domestiques, industriels, agricoles, ont été recherchés dans cette analyse. « Le choix des molécules a été effectué en lien avec la directive REACH [1] , les « substances prioritaires de la Directive-Cadre sur l’eau (DCE) et les molécules résiduelles des traitements de potabilisation » , explique Hélène Roche, présidente du Conseil scientifique du WWF France. « Le nombre de molécules analysées est supérieur à celui habituellement retenu par les laboratoires officiels . Le nombre d’échantillons a été restreint en raison du coût élevé des analyses. Tous les échantillons ont été prélevés de manière aléatoire dans chacune des villes concernées, chez des particuliers, et dans des hôtels ou restaurants ». La dégradation croissante de la qualité des eaux brutes … «